Denis n’aimais pas trop parler de « sa guerre », qui le renvoyait à une période douloureuse de sa vie. Toutefois, à de rares occasions, il s’était confié à son petit-fils Christian. Lors de ces confidences, il lui avait raconté qu’il avait été blessé vers le 15 août par des éclats de « shrapnel » dans le corps.