Le 25 septembre 1909, à l’occasion des grandes manœuvres militaires d’automne, le dirigeable "République" s’écrasait non loin de Moulins. Mon grand oncle Gaston Deroubaix raconte, il avait 15 ans au moment de cette tragédie.
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" Toute histoire locale est histoire totale "
Citation de Jean Jacquart in le Guide de l’histoire locale (Seuil, 1990, 27).
Dernier ajout : le 28 janvier.
Le 25 septembre 1909, à l’occasion des grandes manœuvres militaires d’automne, le dirigeable "République" s’écrasait non loin de Moulins. Mon grand oncle Gaston Deroubaix raconte, il avait 15 ans au moment de cette tragédie.
Après cette visite du 7 octobre 1890 dans le village, par nos jeunes mariés, le soir bien fatigués et après avoir exécuté leurs travaux de métayer, ils soupèrent et allèrent se mettre au lit, Pierre doit se lever très tôt demain et Louise, doit se rendre au Château. Pendant que la vie se poursuit dans le village et ses environs, Monsieur Léon Bry, depuis l’an 1889, tire des plans sur la comète, il a été informé de la vente du Château Laugier Villars et il se dit que cela serait tout à fait bien de l’acquérir et de le transformer en Mairie.
Les téléspectateurs ont pu voir le 29 mars 2011 sur France 2 une fiction-documentaire sur Louis Pasteur (1822-1895) et ses recherches à partir de 1880 pour combattre la rage. Jusqu’à cette époque, les personnes mordues par un animal enragé n’avaient que très peu de chances de survivre à de telles attaques dont on trouve aujourd’hui encore des traces dans les archives.
Louise et Pierre, profitant d’une très belle journée d’automne et de quelques heures de repos, décident d’aller faire une promenade jusqu’au village. Pierre est natif de Gagny, d’une famille de cultivateurs vers le centre du bourg. Il est fermier depuis peu de temps à la ferme du château de Maison-Blanche.
Dans cette période brutale qui exalta les vertus masculines, l’Histoire nous parle peu des femmes qui attendaient pendant des années l’hypothétique retour de leur conjoint ou de celles qui redoutaient de voir apparaître au coin de leur chaumière les féroces hommes de fer en rupture de ban. Elle nous présente bien souvent comme des dommages collatéraux ces populations des villes vaincues et livrées aux mercenaires qui peuplaient les armées de ces temps. Elle relate peu la vie de celles qui durent faire face aux terribles épidémies de peste qui ravagèrent le pays. L’Histoire ne nous dit pas assez que pendant cette longue guerre ce sont, bien souvent, les femmes qui géraient les affaires de leur mari parti guerroyer, tout en élevant seules leurs enfants.
On dit que le seigneur de ce lieu fut surpris par des voleurs en pleine nuit dans la chambre de son donjon où il dormait avec toute sa famille. Se saisissant de son épée, il voulut défendre les siens, mais ses agresseurs réussirent à lui porter des coups mortels. On imagine que sa main ensanglantée s’agrippa au mur de pierre alors qu’il glissait dans la mort. Cette empreinte macabre semble toujours visible. Elle devient même plus vive et plus rouge chaque fois que l’on essaye de la faire disparaître.
En étudiant cette période de notre Histoire, j’ai été particulièrement intéressé par l’émergence de la notion d’État au détriment de la conception féodale des royaumes d’antan, tout au long de ces cent années de guerres sanglantes. Les Foréziens et leurs chefs furent souvent au cœur des débats et des luttes liées à cette notion, qui semble quelque peu écornée de nos jours.
Au Sud-Est de Lyon, Mions est aujourd’hui une ville active, à vocation agricole et résidentielle, de 12 000 habitants. Sur les hauteurs, on peut apercevoir une partie de son château dont l’existence est avérée dès le XVe siècle puisque le 22 juillet 1400, Aimé de Saint-Symphorien est dit « seigneur de Méons », lorsqu’il teste en « la salle du château » en faveur de son épouse, Alix de Bocozel.
La famille Aléno de Saint-Alouarn, propriétaire d’un immense domaine à Guengat, petite commune rurale à deux lieues environ de Quimper, émigre à Jersey. Depuis de nombreuses années, la famille ne séjournait que rarement au manoir. Le départ précipité des maîtres inquiète les fermiers des métairies du domaine. Si les biens des émigrés Aléno sont vendus aux plus offrants, que vont devenir toutes ces familles qui travaillent durement pour exploiter des terres souvent arides ?
« Ignorez-vous, Charles, que lorsqu’on épouse quelqu’un, on épouse en même temps sa famille et ses ancêtres ? » Yvonne de Gaulle - Vendroux. Charles de Gaulle est un homme qui aime le Nord et les Pays du Nord. Longtemps, il fut prétendu que les de Gaulle étaient parisiens depuis des siècles mais s’il est bien vrai que la branche de Gaulle est installée à Paris depuis quatre générations, après un passage par la Bourgogne et la Normandie, les origines du Premier Président de la Cinquième République sont, comme dans de nombreuses familles, multiples.
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