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La petite histoire de nos ancêtres
Vendredi 15 mars 2024
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Bonjour à tous les Gazettofans,

La question que pose Michel dans sa demande d'entraide ci-dessous, je suis sûr que vous vous l'êtes déjà aussi posée : comment nos ancêtres étaient-ils informés, parfois en un temps très court, d'événements qui avaient eu lieu loin de chez eux. Libre à vous de vous exprimer sur ce sujet pour partager votre avis ou vos suggestions et faire ainsi progresser notre compréhension du monde et du temps de nos aïeux.

Merci à tous pour votre fidélité.

À la semaine prochaine...

Thierry Sabot avec Michel Guironnet &
Franck Boulinguez
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Le port est de 2 euros
 pour un panier de 35 euros.
Contexte France
(6e édition 2023)
Pour situer vos ancêtres dans l'Histoire...
Nouvelle formule avec mise à jour (244 pages au lieu de 216), l'ajout de symboles graphiques pour repérer rapidement les faits importants de chaque fiche chronologique et également 25 fiches supplémentaires afin d'évaluer le coût de la vie selon les époques (de 1600 à 1890), avec notamment une estimation détaillée du panier moyen de la ménagère, des données sur les revenus (salaires, gages et soldes) et les budgets des différents métiers, et enfin les dépenses courantes des familles (logement, habillement, linge de maison, mobilier...).
En 1932, à Loperhet (Finistère) c’est la guerre du sexe : Danser est un péché mortel, d’après Mgr Duparc
par Pierrick Chuto
Dans mon nouveau livre ʺL’évêque et les danses kof ha kof (ventre à ventre)‶, je raconte avec beaucoup d’anecdotes, la lutte de Mgr Duparc, évêque de Quimper et de Léon (tout le Finistère), contre les danseurs, les tenanciers de dancings, les musiciens et même les chauffeurs d’autocars qui conduisent les jeunes de salle en salle. Une vraie croisade contre le Malin !
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Comment le savaient-ils ? Comment nos ancêtres furent ils informés de la noyade d’un proche dans le Rhône, entre 1840 et 1850 ?
par Michel Guironnet
C’est la question qui me "turlupine" depuis déjà pas mal de temps : aux Roches de Condrieu, ou en face à Condrieu, ou bien plus bas au bord du Rhône, entre 1840 et 1850, sont souvent repêchés des cadavres de noyés. Dans les jours suivants, parfois moins de 15 jours, une ou des personnes de sa famille viennent "reconnaitre" le corps, souvent en très mauvais état après avoir séjourné plusieurs jours dans l’eau. Certains noyés sont donc ainsi identifiés. Dans les actes rédigés à ce moment, il est indiqué "noyé à..." (entre Lyon et Les Roches) avec l’endroit, le jour et parfois l’heure, et les circonstances de la noyade (exemples : un jeune homme se baigne dans le Rhône, un soldat fait boire son cheval, un désespéré laisse un courrier d’adieu...) Comment ces personnes savaient-elles qu’ici (aux Roches ou ailleurs) avait été repêché un noyé ?
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Comment se soigner en 1880 ?
à lire sur le blog de Bernard-A. Gaüzère
… et jusqu’au milieu du XXe siècle ? La réponse tient dans le récit d’un médecin landais - Charles Lavielle - intitulé « Essai sur les erreurs populaires relatives à la médecine », présenté à la Société de Borda (Landes) en 1881. Détenteur du savoir officiel de la faculté de médecine, il y traite – en se référant à son expérience et avec condescendance - des méthodes et des croyances héritées de la médecine hippocratique née au Vème siècle avant notre ère et de la médecine cabalistique. Ce confrère, propriétaire terrien à Peyrehorade (Landes), semble avoir un peu vite oublié que, faute de médecins diplômés et faute d’argent, le peuple était abandonné à lui-même pour tenter de se soigner et de survivre ! Il désigne parfois le paysan landais - cet « invisible » - par l’expression « le vulgaire ». Nous reproduisons ses écrits.
Un fait divers au XVIIe siècle ou le crime du commandeur Hector de Crèvecœur
par F. Lily Verbiest
Nous sommes surpris aujourd'hui, de constater la place occupée et de découvrir le rôle tenu par le cochon dans la vie quotidienne de jadis. Cet animal rejeté par certaines sectes religieuses parce que jugé impur et indigne à la consommation, mais accueilli au nom de la fraternité prêchée par saint François d'Assise, tenta néanmoins saint Antoine. Qualifié de populaire et de fort démocratique, il défraye pas mal d'anciens documents, et est cité par différents mémoires et chroniques. Les archives relatent des rixes mobilisant jusqu'à tout un quartier, ayant un cochon disturbateur à l'origine. Frère Hector de Vienne de Crèvecœur, commandeur de la commanderie de Loison du grand prieuré de France de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dit de Malte, vers 1618, s'il devint criminel, un aventureux cochon n'y fut pas étranger.
Les trois cloches d'Alaincourt
par les AD de l'Aisne
Les Archives départementales de l’Aisne conservent dans leurs collections plusieurs milliers de cartes postales dont plus de sept mille sont disponibles sur le site Internet depuis mars 2024. Pour célébrer cette nouveauté, focus sur les deux premières cotes correspondant à des cartes postales d’Alaincourt et plus particulièrement son église. Ces deux vues montrent les nouvelles cloches lors de leur baptême, la première alors qu’elles sont enroulées dans du tissu et la deuxième après qu’elles aient été dévoilées.
La paysannerie au Moyen Âge, au rythme du calendrier agricole de Clairavaux
par les AD de la Creuse
L’exposition virtuelle que nous présentons aujourd’hui s’inscrit dans le cadre d’une collaboration entre le Musée d’art et d’archéologie de Guéret, la Bibliothèque Multimédia Intercommunale et les Archives départementales de la Creuse. Cette exposition referme ainsi le volet consacré au thème du Moyen-âge et présente le quotidien du paysan, la diversité de ses activités, son environnement ou sa condition sociale.
La force de nos racines : une épopée de gens ordinaires
par Catherine Brechignac
Qui, remontant le temps, n’aimerait pas rencontrer ses aïeux, ascendants et ancêtres face à face ? Qui, déroulant les siècles, ne rêverait pas de les faire revivre devant ses yeux ? Qui, égrenant leurs noms et leurs destins, ne désirerait pas être leur mémorialiste à l’usage des âges futurs ? Il fallait l’une de nos plus éminentes scientifiques de renommée internationale pour illustrer avec précision, inspiration et émotion cette passion française qu’est la généalogie. Partant en quête de sa lignée bretonne au coeur du Finistère sur quatorze générations, mobilisant registres paroissiaux, états civils, chroniques historiques, cartes géographiques, données climatiques, Catherine Bréchignac ressuscite ici celles et ceux dont elle est l’héritière, les humbles paysans et ouvriers d’une simple histoire familiale sans lesquels, toutefois, il n’y aurait pas eu d’histoire de France.
Jouons un peu...
Avec les noms de famille : Ce nom de famille désigne un lieu où pousse le petit houx.

Avec les mots du passé : Ce mot ancien désignait une tuile pour cuire la galette.
📌 Voir le dossier de presse
Contexte Italie
Dans la même veine que Contexte France, publié en 2007 et depuis plusieurs fois réédité, voici Contexte Italie, la vie quotidienne de vos ancêtres italiens et de leurs migrations depuis 1573 à nos jours. Une chronologie thématique inédite pour situer, en un seul coup d'œil, un village, une famille, un personnage ou un événement dans son contexte historique et généalogique.


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