On ne peut rester en chemin. Je me devais de terminer l’histoire du vieux curé Annet, certes anecdotique, mais aussi révélatrice d’une époque. Nous en sommes à l’interrogatoire. Jusque-là, on ne sait pas grand-chose en fait des symptômes précis que présentait le vieux curé. La famille avait-elle raison d’invoquer la démence, pour faire annuler le testament qui la spoliait d’une partie de ses droits légitimes ? Allait-elle réussir ? Claudine en a-t-elle fini avec les problèmes d’argent, entre ses deux familles ? Une période bien difficile, qui se poursuivra de fait jusqu’au décès d’Antoine en 1842 et même au-delà.