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Qui pourrait m’aider à "faire parler" ces deux photographies anciennes ?

Le jeudi 18 avril 2013, par Chantal Cugno

Je viens de récupérer quelques photos de famille chez un vieil oncle et il y en a deux qui m’interpellent. Sur la première, plusieurs personnes, des femmes surtout, posent devant un bâtiment non identifié. Sur la seconde, j’aimerais déterminer l’ordre religieux d’une sœur qui est inconnue pour moi.

Sur cette première photo, malheureusement, je ne reconnais personne de ma famille, et je ne connais pas non plus le lien qu’il peut y avoir avec mon oncle, non présent sur le cliché. Mais en réfléchissant, cette image pourrait provenir de la famille de sa femme (ma tante), qui est d’origine du nord du département de l’Ain, près de Mâcon (Saône-et-Loire).

Mais ce qui m’intrigue, c’est que je ne vois pas ce que ces dames avec leurs beaux chapeaux pouvaient célébrer. Certainement pas un mariage ! De plus, les personnages ne semblent pas particulièrement joyeux.

Il y a bien quelques hommes (au dernier rang)

et quelques enfants,

mais ce sont surtout les femmes qui sont présentes sur cette photo.

Je n’arrive pas non plus à dater cette photo.

Au verso, est inscrit : "carte postale" sans aucune autre indication.

Quelle pouvait être la raison de ce rassemblement ?

Merci pour votre aide...

Sur cette photo, il y a mon arrière-grand-père et une religieuse dont je ne sais rien. J’aimerais identifier cette personne, mais pour cela il me faudrait déjà savoir d’où elle vient, de quel couvent ou institution dépendait-elle. Peut-être qu’à partir de l’étude de son habit de religieuse quelqu’un pourrait m’en dire plus afin que je puisse poursuivre mes recherches.

Le personnage masculin est Antoine Fournairon né le 16 janvier 1875 à Chaveyriat (Ain), décédé le 13 février 1954 à Condessiat (Ain).

J’estime la date de cette photo aux alentours de 1925/1930.

Je n’ai absolument rien concernant la religieuse et ce qui m’intéresserait, c’est d’avoir des éléments sur cette personne peut-être à partir des vêtements religieux qu’elle porte (ordre religieux, nom du couvent, date etc.), ce qui m’aidera à diriger des recherches.

Cette photo a peut-être été prise à Condessiat.

Merci pour votre aide...

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138 Messages

  • Pour la première photo, je trouve qu’ils sont en habits du dimanche, en été, et que c’est la toute jeune fille en blanc avec le chapeau blanc qui est au centre du groupe, donc ça doit être un événement qui concerne une jeune fille : communion solennelle, du temps où elles n’avaient pas d’aubes de communion, ou elle l’avait peut-être enlevée pour le repas, ou confirmation (mais je crois qu’on la faisait plus jeune à cette époque).
    Ou peut être est-elle reçue au certificat d’études car le bâtiment est une mairie ou une école, avec un tableau d’affichage à la porte. Ou une fête après la remise des prix de la fin de l’année scolaire.
    Qu’en pensez-vous ?

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  • Qui pourrait m’aider à "faire parler" ces deux photographies anciennes ? 19 avril 2013 08:24, par Madeleine ARNOLD TETARD

    En premier lieu je pense que la photo a été pris devant une mairie ou un bâtiment administratif peut être une crêche ?
    Ce sont soit des femmes récompensées par la médaille de la Famille... Cela donnait lieu autrefois à de grandes cérémonies communales !
    Les hommes derrières sont certainement les édiles du village : maire, adjoint, conseillers...
    La présence de quelques enfants met en exergue le fait que c’est une cérémonie se rapportant à l’enfance en récompensant les mères de familles nombreuses.
    J’ai une ou deux photos semblables de ce genre de cérémonie où l’une de mes tantes avait été récompensée pour ses 8 enfants... et d’autres le nombre variant de 3 à 12 enfants...
    Bonnes recherches
    Madeleine

    Voir en ligne : http://histoiremantois.canalblog.com

    Répondre à ce message

  • Qui pourrait m’aider à "faire parler" ces deux photographies anciennes ? 19 avril 2013 08:25, par Madeleine ARNOLD TETARD

    J’ai oublié la date : entre les années 20 et 30
    Madeleine

    Répondre à ce message

    • Pour continuer...
      Cela ne peut être des noces d’or ou autre anniversaire matrimonial car d’une part les "mariés" seraient au premier rang au centre entourés de leurs enfants, de plus le fait qu’il n’y ait que des femmes (ou presque) n’engage pas non plus ce type de raisonnement..
      Peut être lire les messages déjà postés avant de redire les mêmes choses... (années 20/30 ou devant une mairie...)
      Cela pourrait être une commémo de veuves de guerre effectivement mais pourquoi ces dames ne sont-elles point en deuil toutes ? Une seule porte un crêpe de deuil à côté du monsieur tout en blanc... De plus, beaucoup ont le sourire ce qui ne serait pas le cas dans cette commémo si c’était pour rendre hommage à leurs hommes morts pour la France.
      Elles arboreraient de plus, leur médaille de veuve de guerre (que la grand mère de mon époux a eu lors d’une cérémonie, son mari étant mort en 32 des suites de ses blessures)...
      La Journée de la Femme ? Oui peut être mais avait-elle bien lieu à cette époque ?
      Le fait que deux femmes se ressemblent n’est pas un élément, non plus, qui puisse déterminer l’objet de la photo, car dans les villages beaucoup de personnes sont parentes et donc se ressemblent, et il se peut que, dans ce cas de figure, plusieurs soeurs furent présentes...par hasard !
      Je garde mon idée de remise de médailles de la famille pour mère de famille nombreuse...
      Madeleine

      Répondre à ce message

  • Bonjour
    Je note quelques petits détails :

    • Tout d’abord,C’est ce vieux monsieur en blanc, au 2e rang,qui attire les regards : on a l’impression que le photographe a fait ressortir le blanc de son vêtement !
    • A coté de lui : sa femme ou sa soeur (elle a un voile noir sur son chapeau ; donc est peut-être veuve ou a perdu son fils il y a peu de temps : c’est l’immédiat après-guerre.Je note la ressemblance de cette femme avec La 5e au 2e rang.
    • Et surtout la ressemblance des 2 femmes de droite qui portent les bébés : elles paraissent jumelles.
    • Dernière remarque : au 1er rang,celle qui est au centre n’est pas la jeune fille au chapeau blanc, mais celle plus agée au chapeau noir, et sa voisine, la 4e à gauche, porte sur sa robe ou son haut un dessin circulaire,où semble être accroché un "ruban" blanc. Si elle a eu un prix quelconque, elle ne semble pas joyeuse pourtant !
      Bonne journée et bonne recherche
      Josiane

    Répondre à ce message

  • Bonjour,
    Pour la 2° photo :
    Je trouve que ces deux personnes se ressemblent.Peut-être frère et soeur ?

    RUIZ Eliane.

    Répondre à ce message

  • Bonjour,
    Dans un premier examen rapide on imagine bien la photo prise devant un bâtiment public.
    Ce qui attire mon attention c’est la femme portant le voile noir des jours suivant un deuil.
    Ce n’est pas le jour de l’inhumation, il y trop de femmes en blanc.

    Répondre à ce message

  • Bonjour,

    Et pourquoi pas un anniversaire de mariage, celui des deux personnes debout au deuxième rang (le monsieur en blanc et la dame en noir à ses côtés), entourés de leur descendance ?

    Il me semble que s’il s’agissait d’une remise de médaille, on verrait celle-ci, or ce n’est pas le cas.

    Pour répondre à Chantal qui dit que les personnes ne sont pas très joyeuses, à l’époque, on était grave sur les photos, même de mariage.......

    Cordialement.
    Jacques

    Répondre à ce message

  • bonjour
    je pense dabord que cette photo a été prise devant une mairie (cadre d’information à côté de la porte avec information affichée).
    Vu le type de chapeaux portés par ces dames, je dirai les années 1920. Je pensais à une fête de ste catherine mais vu les tenues aux manches courtes ce ne peut être qu’entre printemps voire jusqu’en automne.
    A moins que ce ne soit une fête de mai, juin (une fête des mères par exemple vu qu’il n’y a que très peu d’hommes.
    En ce qui concerne leur faciès, il ne paraît si triste que cela à mon sens (jai déjà vu des photos de mariage où tout le monde était triste comme un menhir).
    Peut être pourrez vous trouver votre bonheur auprès de la mairie ou le cercle généalogique de la zone de Mâcon.

    bonne continuation

    sabrina

    Répondre à ce message

  • Bonjour,
    Seconde photographie :
    Ces deux personnes se ressemblent énormément.
    Il s’agit sans doute du frère et de la soeur...
    eveline2

    Répondre à ce message

  • Pour la première photo,le deuxième exemplaire e, plus proche, on distingue un voile noir( genre crepe) à l’arrière du chapeau de la dame. Ne serait-ce donc pas un enterrement ?Les personnes semblent etre beaucoup en noir ou en blanc. Pour la religieuse, sa coiffe ressemble un peu à celles portées par des "béguines"( coiffe=béguin),installées en Flandre belge,et quelques- unes en Picardie) femmes qui ne prononcent pas de voeux religieux mais qui mènent une vie de chasteté.

    Répondre à ce message

  • Pour la première photo, j’ai tout de suite pensé à la Sainte-Catherine (ou un dérivé régional ancien) :

    « Actuellement, dans certaines régions, il arrive que l’on rencontre le 25 novembre des jeunes femmes portant des chapeaux multicolores (où dominent parfois le vert et le jaune) visiblement fabriqués pour la circonstance. Ce sont des catherinettes qui fêtent gaiement l’événement. » Wikipedia.

    Voir en ligne : http://www.ouinon.net@gmail.com

    Répondre à ce message

  • Je ne penche pas pour le mois de novembre : manches courtes,
    pourquoi pas au printemps, élection d’une rosière ?

    Répondre à ce message

  • Bonjour,

    A Chaveyriat, la même année que la naissance d’Antoine Fournairon, naît le 10 août 1875 Marie Antoinette Fournairon, fille de Jean Georges Fournairon et de Benoite Bas, son épouse. Les deux parents ont 27 ans et habitent à La Croix Reydellet.

    Cette fille, la future religieuse ?, aurait elle grandi avec Antoine, enfant naturel de Marie Fournairon, 20 ans en 1875 ?

    Cette Marie est elle la soeur de Jean Georges ? ...Et autres hypothèses à vérifier.

    Cordialement.
    Michel Guironnet

    Répondre à ce message

  • Si on regarde bien la première photo, on peut former facilement plusieurs couples de jumeaux et/ou jumelles du fait de ressemblances frappantes. Pourquoi pas une fête des jumeaux, comme il en existe ailleurs en France ?

    Pour la seconde photo la ressemblance est également frappante et ce sont certainement des jumeaux.

    Peut-être une idée à développer ??

    Répondre à ce message

  • Bnjour Chantal,
    en ce qui concerne la seconde photo, ci-dessous réf. des archives qui pourraient vous aider.
    J’y ai eu recours et ce fut parfait. En leur envoyant la photo les archivistes pourront trouver la congrégation.
    Bien cordialement
    Marie-Yvonne Roumieux

    "Les archives de l’Église catholique en France

    Le Centre national des archives de l’Église de France (CNAEF)

    Localisé à Issy-les-Moulineaux, en région parisienne, le CNAEF a pour mission de collecter les archives de la Conférence des évêques de France. Il accueille également, par don et dépôt, des fonds d’archives intéressant l’histoire nationale de l’Église catholique en France.
    Pour en savoir plus...

    Les archives diocésaines

    Elles regroupent les archives de la vie du diocèse : papiers des évêques, dossiers des conseils et services diocésains, archives de paroisses.
    Les registres de catholicité - baptêmes, mariages et sépultures - en font partie. Ces registres sont importants pour les généalogistes mais servent d’abord à l’administration ecclésiale : par exemple, la délivrance d’un acte de baptême en vue d’un mariage célébré par l’Église catholique.
    Aucune centralisation des archives n’est effectuée dans l’Église catholique ; pour les recherches concernant des prêtres diocésains, des églises ou des chapelles locales, ce sont les archives diocésaines qu’il faudra consulter.

    Une césure importante : la Révolution française

    Par la loi du 5 janvier 1790, l’Assemblée constituante déclara les archives ecclésiastiques propriété de l’État et ordonna leur versement dans les dépôts publics. C’est ainsi que les archives diocésaines antérieures à cette date, registres de catholicité compris, sont conservées dans les services des archives départementales.

    Les archives postérieures à 1801 sont conservées dans les services des archives diocésaines (contacter l’évêché). Dans certains diocèses, elles peuvent avoir fait l’objet d’un dépôt aux archives départementales.

    Les archives des congrégations, ordres et instituts religieux

    La quasi-totalité des archives des monastères, communautés et congrégations religieuses sont conservées au sein des communautés les ayant produites. Il peut arriver cependant que ces archives se trouvent dans des dépôts d’archives publiques (c’est normalement le cas pour les archives antérieures à 1790) ou dans d’autres dépôts, si les communautés ou congrégations ont fermé par exemple.
    "

    Répondre à ce message

    • La photo a sûrement été prise devant une mairie ou un édifice public du fait de la "boîte" d’information existant sur le mur et il s’agit d’un groupe de personnes du même milieu, peut-être d’une même famille car la façon de s’habiller est la même pour tous, ces personnes appartiennent à la même classe sociale. Il est évident que les hommes sont absents de cette photo prise après guerre,commémoration pour un monument aux morts ?? mariage posthume ? ou alors les époux sont éloignés pour des raisons professionnelles ou autres et on souhaite leur adresser une photo de famille ?? Pour la religieuse, je lui trouve un air de ressemblance avec les costumes de l’ordre du Saint Sépulcre présent à Charleville Mezières... Bonnes recherches.

      Répondre à ce message

    • Merci pour ces précieux renseignements.

      Répondre à ce message

  • Pour la première photo, il n’y a pas beaucoup d’hommes, en cette période, c’est normal, ils sont morts à la guerre.
    C’est vrai aussi que à l’époque on ne souriait pas sur les photos. C’est sure ils sont devant un bâtiment administratif, ils sont endimanchés et normalement sur des photos de ce genre le sujet ou les sujets concernés par la cérémonie sont au centre.
    Je ne penche pas pour la Sainte Catherine, car la Ste Catherine est une fête plus populaire.
    Pour la deuxième photo je pense aussi qu’il s’agit d’une béguine.

    Répondre à ce message

  • Bonjour. En découvrant cette grande photo où paraissent de nombreuses femmes je pense "journée des femmes" que nous fêtons maintenant début mars. Elles sont toutes coiffées de chapeaux et portent toilettes plutôt "habits du dimanche". Alors, imaginons : L’un(e) des personnages pourrait être à l’origine d’une maison de couture familiale en province, et aurait réuni famille et employé(e)s pour un anniversaire, liant réussite professionnelle, dynastie ?
    Bonne recherche à vous. MF

    Répondre à ce message

  • A mon avis le bâtiment non identifié pourrait bien être une mairie : porte massive de bâtiment officiel, panneau d’affichage sur la droite...

    Répondre à ce message

  • Bonjour,
    Pour ma part, pour la première photo, je pense qu’elle date des années 1920-30 (tenues vestimentaires) et qu’elle a été prise devant une mairie (panneau).
    Comme il y a de nombreuses femmes, certaines en deuil (habillées de noir) ce pourrait être une cérémonie en l’honneur des veuves de guerre, nombreuses après 1914-1918, ou pour la construction du monument aux morts de la commune.

    Répondre à ce message

  • Bonjour, peut être la deuxième photo est-elle plutôt des années 1940-45, car votre arrière grand père paraît y avoir 65 - 70 ans, ce qui, étant né en 1875, donne plutôt ces dates. La religieuse fait aussi cet âge, me semble-t-il ?

    Répondre à ce message

  • Madame,

    Sur l’une des photos, apparaît une trace de pneu d’automobile.
    C’était rare à l’époque. Recherchez les propriétaires d’automobiles. Sincères salutations.

    Répondre à ce message

  • Bonjour,

    Peut-être tout simplement des noces d’or ?

    Répondre à ce message

  • Je ne peux que vous confirmer la date d’après les costumes:les années20.Par élimination:pas une remise de prix aux enfants,car ils auraient des livres entourés de choux de rubans et seraient au premier plan.Pas une communion non plus,car le costume de ces années se composait pour les filles,d’une couronne de roses blanches et d’un voile avec une robe blanche,pas non plus un enterrement car il serait impensable que toutes les femmes ne soient pas en noir et les hommes avec un brassard noir au bras.La femme en grand deuil confirme la datation après la guerre de 14-18.Je pense qu’il s’agit d’une fete de famille,d’où les ressemblances et les tenues habillées,mais laquelle ???

    Répondre à ce message

  • Bonjour ! Cela fait une heure que je détaille tous les personnages de votre photo, tout simplement parce que la jeune fille en blanc ressemble étrangement à ma grand-mère.
    Elle est allée en orphelinat à Souppes-sur-Loing. Je viens de mettre son portrait sur ce lien :
    http://www.geneanet.org/gallery/popup-server.php?action=detail&rubrique=portraits&id=355411&desc=jeanne_servais&no-see-more=1
    Elle est née à Paris, ses parents et grands parents sont originaires de Buironfosse, Aisne (du côté paternel) et d’Entraygues-sur-Truyère (du côté maternel).
    Je sais qu’après elle est revenue dans sa famille maternelle, elle s’est même mariée à Fourmies.
    Son arrière grand mère maternelle était Marie Julie SERVAIS.
    Nous ne savons pas ce qu’est devenue sa mère Marie Mallet dont je n’ai trouvé aucune trace de décès.

    Voilà ! Je suis peut-être en plein rêve, mais je voulais partager ce rêve avec vous.

    Donc, imaginons que cette jeune fille en blanc ne soit pas ma grand-mère, peut-être que cette information pourrait vous aider. Car cet évènement pourrait peut-être officialiser une sortie de l’orphelinat, et une prise en charge par la famille.

    Bon courage, dans tous les cas, dans vos recherches.

    Répondre à ce message

    • Bonjour,
      Bonne idée que Jeanne S et sa sœur, ne trouvez-vous pas que les deux personnes du centre se ressemblent ! Celle avec son chapeau avec couronne de fleurs et son ruban sur la poitrine pourrait être l’aînée - celle en blanc pourrait être la petite sœur. J’ai fait le montage c’est frappant !
      Bonne recherche. Cordialement
      ML

      Répondre à ce message

    • Effectivement, il y a une ressemblance. A approfondir...

      Répondre à ce message

    • Bonjour !

      Je ne peux malheureusement pas vous aider Madeleine. La première photo semble être associée à un rassemblement quelconque dans une commune et je pense aussi que la photo est prise devant la mairie du village. Peut-être sont-elles les employées d’une usine quelconque -elles sont peut-être toutes des couturières par exemple. Et les hommes seraient les employés masculins de cette usine. L’homme habillé en blanc pourrait être le maire ou le propriétaire de l’usine. Pour la deuxième photo je pense que votre arrière-grand-père ressemble beaucoup à la religieuse -ils doivent être frère et soeur ou cousins. Personnellement ce que je ferais c’est étudier en détail le cheminement des enfants que les frères et soeurs des parents de votre arrière-grand-père ont eus. J’ai fait la même chose pour les frères et soeurs de mon arrière-arrière-arrière-grand-père et j’ai trouvé des choses auxquelles je ne me serais jamais attendue.

      Je voudrais aussi profiter de cette occasion pour rentrer en contact avec la personne nommée COHIN car mon arrière-grand-père était le fils d’un orphelin recueilli dans un orphelinat et mon arrière-arrière-arrière-grand-mère que j’ai pu retrouver grâce à un coup de chance incroyable disparaît à nouveau 3 ans et demi plus tard si bien que je ne sais pas ce qui lui est arrivé après août 1854. Et la chose qui est encore plus étrange c’est que sa soeur cadette disparaît elle aussi 7 ans plus tard d’un petit village alors qu’elle avait 4 enfants en bas âge... L’acte de mariage de sa fille aînée dit que personne ne sait où elle aurait habité et où elle aurait décédé (on semble la présumer décédée alors qu’elle aurait encore été jeune). Je trouve ces disparitions étranges (je sais pourquoi mon arrière-arrière-arrière-grand-mère a disparu au début mais pas la deuxième fois et je trouve la disparition de sa soeur vraiment bizarre car elle ne vivait pas seule et donc je ne vois pas comment elle peut disparaître du jour au lendemain d’un petit village où tout le monde se connaît et aussi pourquoi elle ferait une telle chose) et la contribution de la personne appelée COHIN suggère que ces disparitions arrivaient fréquemment. Je veux à tout prix éclairer ce mystère et je me demande si la personne appelée COHIN aurait quelque information qui pourrait m’éclairer. Je me demande si les deux soeurs seraient parties ensemble par exemple.

      Merci.

      Bonne chance Madeleine !

      Françoise

      Répondre à ce message

  • avez vous pensé aux colonnies françaises, ce qui expliquerait les vêtements surtout les chapeaux et la transpiration sur leurs visages a noter la dame de droite avec une robe au col particulier, je daterai la photo au allentour de 1920 par les chaussures, si, bien sûr, cela se passe dans les colonnies et je confirme que c’est devant un établissement public.
    bonne recherche ...

    Répondre à ce message

  • Je pense à des noces d’or.

    Répondre à ce message

  • Bonjour Monsieur,
    J’ai regardé vos photos et j’ai peut-être une suggestion pour l’ordre de votre religieuse. Sa coiffe surtout, et son grand manteau font penser aux images de Ste Jeanne Jugan, fondatrice de l’ordre des Petits frères des Pauvres ; il n’y avait pas une multitude d’ordres non cloîtrés. Les soeurs de St Vincent de Paul n’ont pas le même costume, et elles avaient vocation de s’occuper surtout des enfants. Les soeurs de Jeanne Jugan allaient partout et par tous les temps, d’où leur grand manteau. Et leur coiffe en "cerceau" est caractéristique.
    Bien à vous,
    Claire

    Répondre à ce message

  • Je situe la première photo vers 1915-1920, j’ai une photo de mon père habillé comme le petit garçon assis sur les genoux de la femme au premier rang, et il est né en 1911 et avait à peu près le même age que sur la photo. Par contre le bâtiment ressemble bien à une Mairie avec le panneau d’affichage. Les femmes ont des robes très longues, elles existaient encore en 1915-1920, mais plus en 1930. Par contre pour l’évènement je ne sais pas du tout.

    Répondre à ce message

  • Bonjour à tous. Je viens de lire les commentaires et une idée m’est venue : Pourquoi , sur la première photo, ne s’agirait il pas d’une photo souvenir de toute la famille avant que le personnage central, la jeune femme (Jupe noire chemisier blanc), ne rentre dans les ordres ?? Cette hypothèse nous ramène à la seconde photo .

    Répondre à ce message

  • Bonjour
    Au vue des vêtements, la première photo a été prise dans les années 1925/30. Le bâtiment devant lequel pose ces personnes est sûrement un bâtiment public, mairie, église, temple, à cause du panneau d’affichage visible à côté de la porte. Que célèbrent tous ces gens au point de faire une photo de famille ? Peut-être tout simplement la famille des deux personnages âgées situées au centre (la dame en noir et le vieil homme en costume à côté d’elle et qui n’est pas avec les hommes au fond). On peut imaginer que ce sont leurs filles devant et les gendres derrière. Mais ce n’est qu’une supposition

    Répondre à ce message

  • Manifestement, sur la deuxième photo, la religieuse est la soeur de votre arrière grand père, ou au moins une parente très proche.

    Répondre à ce message

  • Mon opinion personnelle :
    La première photo date des années 20, prise devant vraisemblablement une mairie (panneau d’affichage municipal à droite de la porte : la feuille indique peut-être le genre d’évènement et la date...), juste après la 1re guerre mondiale, peu d’hommes (ceux de la photo devaient être soit trop jeunes ou trop âgés et en ont réchappé), beaucoup de veuves en noir et quelques orphelins... visiblement au printemps ou en été, plutôt dans une ville qu’à la campagne (tenues vestimentaires).
    Cordialement.

    Répondre à ce message

    • Bonjour,
      J’ai plusieurs photos prises vers 1930, ou figurent des enfants en costume marin...
      Je pencherais plutôt pour une photo de groupe prise après 1930, les costumes des hommes et les grands chapeaux paraissant finalement assez modernes...
      Le costume blanc et le chapeau de l’homme moustachu me surprennent ; je me demande si cet homme ne vivait pas plutôt "hors métropole"... La photo aurait-elle été prise pour célébrer des retrouvailles familiales ? Mais pourquoi si peu d’hommes ?
      Autre possibilité : Toutes ces femmes ne seraient-elles pas des "modistes-chapellières ou couturières", réunies autour de leur patron l’homme en blanc ? Notons que Ste Catherine est la patronne des couturières, et que le 25 novembre, les catherinettes encore célibataires créent des chapeaux extraordinaires... Ceci expliquerait l’absence d’hommes, mais leurs chapeaux sont trop classiques, et sauf si la photo a été prise outremer ou dans le sud de la France, leurs tenues légères sont incompatibles avec la fin novembre...
      Bon courage !

      Répondre à ce message

  • J’ai eu la même impression sur une photo.
    Elle datait de 1916
    Les hommes valides étaient à la guerre et pour une petite partie, aux champs.

    Répondre à ce message

  • Comme je n’ai aucune idée concernant la 1re photo, je ne m’y attarderais pas.

    Concernant la seconde (la religieuse) : les costumes des congrégations ne changent pas énormément même si ces derniers temps ils ont tendance à se simplifier. Peut-être pourriez-vous avoir une réponse fiable en questionnant votre diocèse. Je suis quasi certaine qu’on pourra vous y donner l’ordre précis auquel elle appartenait. Les archives religieuses pourraient même, avec un peu de chance, avoir des traces des prises de voile et/ou de décès.

    Répondre à ce message

  • Bonjour,
    Je pencherais aussi pour une des premières fêtes des mères (de famille nombreuse ),créée après la grande guerre sous l’influence du Mother’s day américain et aussi dans le souci de promouvoir la natalité . Des renseignement sur ses origines peuvent être notamment trouvés sur le site Union des familles : le 9 Mai 1920 Journée nationale des mères de familles nombreuses
    20 Avril 1926 :première cérémonie officielle avec remise des médailles .
    La même année un décret fixe la fête des mères au dernier Dimanche de Mai,date qui concorde avec la tenue des femmes sur la photo.
    Ajoutons que pouvait aussi récompensée à cette occasion
    une veuve de guerre ayant élevé seule plusieurs enfants ,d’où peut-être la femme en grand deuil. (Mais le grand deuil était des plus courants à cette époque.)

    Répondre à ce message

  • Cette photo a été prise devant une mairie ou un édifice public, car on voit bien la boîte d’information qui sert aux publications municipales. Les personnages de la photo sont manifestement du même milieu social, donc il ne s’agit pas d’un rassemblement regroupant différentes classes de la société, il peut s’agir d’une photo de famille dont les hommes sont manifestement absents (veuves de guerre ou mariage posthume après 1918) ou ils sont éloignés à cause de leur activité et la famille souhaite leur envoyer une photo du groupe....l’habit de la religieuse ressemble aux vêtements portés par la communauté du Saint Sépulcre à Charleville Mezièers.

    Répondre à ce message

  • Pour la photo de groupe, je pense que l’on se trouve devant une mairie (panneau d’affichage grillagé)et dans la partie sur du pays (volet niçois à gauche)

    Répondre à ce message

  • Pour la 2e photo, si l’homme présent est votre arrière grand-père, peut-être pourriez-vous voir si dans la région où il vivait il existait/existe 1 ordre religieux ce qui pourrait vous faire avancer.

    Répondre à ce message

  • Pour votre costume "religieux" voici... 20 avril 2013 15:37, par Manon

    Bonjour madame, j’espère que ceci vous aidera.

    Il s’agit du : Recueil de tous les costumes des ordres religieux

    http://gallica.bnf.fr /ark :/ 12148/btv1b84522156

    **ENLEVER LES ESPACES DANS L’ADRESSE, sinon je ne pouvais pas vous la faire parvenir**

    Il y a beaucoup sur le costume masculin mais il y a aussi le costume féminin. **J’espere qu’il vous servira plus d’une fois.**

    Je vous souhaite bonne chance dans votre recherche.

    Répondre à ce message

  • Bonjour Madame,
    Comme certains l’on déjà dit, je suis d’accord qu’il s’agit d’un bâtiment administratif type Mairie.
    La photographie portant l’inscription carte postale était courante au début du XXe siècle (cela servait pour le format et pour renforcer la rigidité du papier photo qui était très fin et évité qu’il ne se mette en rouleau). J’ai vu des photos de ma famille sous forme de cartes postales et d’autres plus grandes mais très fines, en rouleau et déchirées sur les côtés.
    Je note qu’il y a peut d’homme en âge d’avoir une compagne : trois seulement, quatre avec l’homme en blanc.Les autres sans chapeau et celui avec le canotier sont trop jeunes.
    L’homme en blanc semble trop vieux pour être mobiliser et les trois avec chapeau, ont été pour une raison que j’ignore
    exemptés soit comme soutien de famille ou occupant un emploi spécifique.
    Il ne s’agit pas d’une communion,pas d’une distribution de prix car cela serait mis en évidence, je ne pense pas à une rosière car la jeune fille avec les mains appuyés sur le banc ne semble pas avoir atteint ses dix huit ans. Par contre avec l’autre qui paraît être sa soeur, elles sont de part et d’autre de leur mère. L’homme en blanc pourrait être le père ou le beau-père de cette femme et le grand père de deux jeunes filles. Il pourrait être veuf car la femme près de lui, est trop jeune pour être sa femme légitime (vu l’époque, encore que...) les gens sont effectivement endimanchés et paraissent assez aisés.
    A mon pont de vue cela se situe en Métropole et pas aux colonies, vu la tenue vestimentaire.
    L’événement a dû se produire soit pendant la guerre de 1914 - 1918 ou après. Il s’agit d’une réunion de famille et de très proches parents ou amis pour l’adresser à l’époux et père des deux jeunes filles qui pourrait être au front ou blessé dans un hôpital ou un sanatorium.
    Vous parles aussi de ce vieil oncle qui vous a remis les photos. Où était il ? Où avait’il demeuré durant son existence ? et sa femme, la tante dont vous parlez, que savez-vous d’elle, avez vous des photos de cette personne ?
    A mon sens c’est de ces côtés là qu’il faut chercher ou dans les environs immédiat et auprès des personnes âgés de plus de 80 ans s’il en reste encore dans ces villages en leur représentant les photos pour voir s’ils reconnaissent quelques personnes. Enfin si cela est encore possible et si vous ne résidez pas trop loin de ces lieux.
    Bon courage.

    Georges Chavagnac

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  • Bonsoir,

    La première photo est très énigmatique, pas de solution à proposer.

    Quant à la seconde photo je rejoinds l’avis de Michel Guironnet, la religieuse devait être parente (soeur, cousine ...) avec votre arrière-grand-père, très grande ressemblance.

    Tout à fait d’accord avec Claire Vergobbi, la religieuse pourrait faire partie des petites soeurs des pauvres.

    Cordialement.

    André Vessot

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    • Au Château de Lourdes, qui contient plusieurs musées, il y a une collection de très nombreuses poupées portant toutes un costume différent d’Ordre religieux.
      Vous devriez soumettre votre photo n° 2 au conservateur de ce musée.
      FR

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    • en ce qui concerne la deuxième photo et pour avoir bénéficié de leurs soins dans les années 1940 à 1950 j’opte moi aussi pour cet ordre religieux des petites sœurs des pauvres.
      elles se déplaçaient dans les familles et faisaient office d’infirmière. la cape était comme celle de la personne photographiée et le long chapelet accroché à la taille me rappelle tout à fait ces petites sœurs
      il est vrai que les coiffes (cornette) des sœurs que je côtoyais ne ressemblaient pas à celle de la photo. mais peut-être d’une région à l’autre étaient-elles différentes, tout simplement en raison du climat

      que la première photo se rapporte à un évènement religieux (prise de voile) me parait tout à fait judicieux
      bonnes recherches toujours aussi passionnantes

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  • Bonjour,
    Des ecclésiastiques figurent parmi ma famille (région de Grenoble). Il m’arrive parfois de contacter le responsable des archives du diocèse. Peut-être que celui de Bourg en Bresse pourra vous renseigner, où éventuellement vous communiquer des pistes pour orienter vos recherches.
    Essayez de le contacter. Bonne chance pour votre enquête.

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  • Pensez à la période qui suit la fin de la guerre de 1914-1918, les soldats sont rentrés en 1919. Cela peut être une réunion de rescapés avec les veuves et les orphelins du conflit

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  • Sur la photo de la religieuse ,d’abord je suis un peu étonnée qu’à cette époque une religieuse pose avec un homme,fut-il son frère ,j’ai pensé que ce pouvait être une veuve appartenant à un tiers -ordre (franciscain ou dominicain ...),c’est-a dire trés impliquée sur le plan religieux,sans être retirée du monde .Autrement la simplicité du costume ,totalement noir et sans grands voiles me fait penser à une congrégation avec des soeurs d’origine modeste et tournée vers les plus pauvres :petites soeurs des pauvres dont une maison est à Lyon ou petites soeurs de l’assomption

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  • Il pourrait s’agir d’une réunion de famille pour célébrer un événement familial, des noces d’or peut-être, comme le suggère Michèle. Le couple âgé serait entouré de sa nombreuse descendance mais il est étonnant que le photographe ne l’ait pas placé au centre.
    Les tout-petits dans les bras des deux femmes à droite pourraient être des arrière-petits-enfants ; l’arrivée d’une nouvelle génération et donc l’assurance de la pérennité de la famille auraient motivé cette réunion.
    Quoi qu’il en soit c’est un événement suffisamment important pour avoir motivé un tel rassemblement mais les diverses cérémonies suggérées ne me paraissent pas convaincantes car il n’existe aucun élément photographié dans le groupe susceptible de les justifier. Est-ce que le choix du lieu -mairie- a une signification ? Les familles de libres-penseurs se réunissent aussi.
    Par ailleurs, les tenues sont relativement élégantes et celles des enfants me paraissent particulièrement soignées. il s’agit d’une famille à l’aise -propriétaires terriens ou commerçants. La femme à l’extrême-droite avec un petit dans ses bras semble habillée différemment des autres figures féminines -j’ai l’impression qu’elle a retroussé son tablier et l’a attaché à sa ceinture. C’est peut-être une nourrice ou une simple domestique considérée comme faisant elle aussi partie de la famille.
    Tout ceci ne vous aidera pas beaucoup mais je vous souhaite bonne chance.

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  • bonjour peut etre une réunion de jumeaux ??
    il est vrai que beaucoup de personnes se ressemblent !! surtout
    entre les deux femmes en noir (la 5e et la 9e) et l’homme en blanc et que dire des deux femmes qui portent les bébés ??
    je pense à des servantes !! vu le type d’habits que porte celle qui se tient à droite

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  • Bonjour,
    je vous propose d’aller voir sur mon site une photo de famille prise en Algérie. La dame en robe rayée ressemble étrangement à celle qui est sur votre photo. Qu’en pensez-vous ?

    Voir en ligne : http://gw.geneanet.org/cguillard

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  • je reviens vers vous, comparer aussi la jeune femme au premier rang qui a un chemisier avec un noeud

    Voir en ligne : http://gw.geneanet.org/cguillard

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  • Bonjour,
    Photo n°1, les chapeaux sont à larges bords, les manches sont courtes, la hauteur du trottoir fait penser à des pluies importantes. La tenue vestimentaire de la dame assise à droite est peut-être d’inspiration locale, les 2 bébés sont tenus par des "servantes ?", 2 "autres servantes ?" sont à l’opposé. En apparence, ces 4 visages ne semblent pas avoir le type européen. Le volet est à persiennes. Donc pays chaud, certainement outre-mer, peut-être Maghreb. Pour moi ce serait une photo de famille avec enfants, gendres,brus, petits enfants etc.. pour envoyer à de la famiile en métropole. Si le batiment est une mairie, il se pourrait qu’un des hommes soit maire ou adjoint.

    Photo 2:Nous sommes devant un hangar agricole, les traces parrallèles sont des pneus de voiture ou d’attelage car elles son étroites,+ vers la porte on remarque des traces de roues en bois ou métal. Pour ma part, cette photo est récente, fin de la guerre 39-45.

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  • D’après les vêtements je situe la 1re photo dans les années 10-20. Quant à savoir pourquoi rien ne permet de le dire si ce n’est que c’est en été. Le peu d’hommes confirmerait l’époque : les autres sont à la guerre ou n’en sont pas revenus. Beaucoup de femmes en noir d’où veuvage probable ou deuil.

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  • Il est possible que ce soit une photo de mariage des années 1920. En effet ma grand mère s’est mariée en 1924 en robe noire.Pourtant elle n’était pas veuve. Par contre elle avait perdu son frère à la guerre. Les photos de l’époque montrent des personnes peu souriantes ce qui s’expliquent par le fait que ce sont pendant les cérémonies où toute la famille est réunie où on ressent plus la perte des êtres chers.
    L’homme en blanc pourrait être le marié et la dame en noir la mariée.

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  • Bonjour, en regardant la photo de l’arrière-grand-père et de la religieuse, je suis presque certaine qu’il s’agit de frère et soeur, peut-être même de jumeaux tant la ressemblance est frappante.
    Quant à la première photo, il s’agit peut-être d’une simple réunion de famille, en ce temps-là, les femmes portaient toujours un chapeau !La petite fille du centre semble mise à l’honneur ! La photo semble être prise devant une porte de mairie ou d’école, car souvent les deux institutions voisinaient.Ce serait alors la réussite du certificat de fin primaire car c’était très important à l’époque !

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  • Bonjour ,
    le fait que , dans la première photo , il y ait une majorité de femmes me permet de penser qu’elle a été prise pendant la Ire guerre , beaucoup d’hommes étant au front ; ce serait également la raison pour laquelle ces femmes n’ont pas le sourire , et aussi q’une femme soit en deuil d’un proche !

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  • Je ne puis apporter aucune réponse majeure, mais je pense que la piste de l’Algérie est la bonne. Je n’ai jamais vu de photo d’un homme habillé tout de blanc au nord de la Loire. Donc chercher vers le sud. Le costume de la dame tout en bas à droite semble aussi coroborer cette hypothèse. Je remarque aussi que cet homme en blanc est le seul au milieu des femmes ; les autres sont relégués tout en haut. Est-il le seul, lié par le sang ? Les autres sont-ils des "pièces rapportées" ? Des cartes postales anciennes d’Oran vous permettraient peut-être d’identifier ce qui semble être une mairie.

    Quant à la 2e photo, les traces de roues mènent tout droit à ce qui pourrait être la porte cochère d’un monastère ou béguinage.
    Bon courage

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  • La première photo me fait penser à une cérémonie civile qui est organisée dans certaines communes et qui est baptisée "la classe".
    Tous les ans, on réunit les habitants qui sont nés lors d’une année précise.
    Dans l’hypothèse où la photo aurait été prise en 1925, les habitants nés en 1925, 1915, 1905, 1895, 1885, etc. sont invités pour une cérémonie, un repas et une photo de groupe.
    Et le cliché datant des années 1920 ou 1930, le peu d’hommes peut être expliqué par la 1re guerre mondiale.

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  • Je viens, à nouveau, de regarder longuement la photo n°1.Il y a 3 personnes sensiblement du même âge:l’homme en blanc, la femme en deuil à sa gauche, et l’autre femme en noir avec un chapeau, un peu plus à droite. La ressemblance entre eux est assez frappante. Ne serait-ce pas 3 frère et soeurs avec leur descendance ? Donc, je rejoindrais Will et son hypothèse d’une photo de famille, en Algérie, pour l’ envoyer en métropole.

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  • Je viens de trouver sur le site DELCAMPE une photo de la mairie de Pont de l’Isser en Algérie (villaya de Tlemcen, département d’Oran). Cette ville est le lieu de naissance de Alice André dont parle C. Guillard dans son message. Cette mairie, avec son tableau d’affichage, semble identique à ce que l’on voit sur la photo avec le groupe de personnes. Je suis persuadée que c’est là qu’il faut chercher....à suivre

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  • La religieuse ressemble, si on regarde la bouche et le nez à votre arrière grand-père. Ces deux personnes ont sensiblement le même âge. Je ne serai pas surpris qu’ils soient frère et soeur.

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  • Je me lance pour une proposition : cette photo aurait été prise pour feter le départ en retraite de Paul ANDRE (l’homme en blanc )époux de Condamines Marie Louise (la femme avec le voile noir ?) devant la mairie du pont de l’isser en Algerie vers 1914/1918.
    Ce dernier était cantonnier communal et la photo aurait pu etre prise devant son " lieu de travail" pour l’occasion, et envoyé en France à de la famille ou anciens collègues .
    Presents sur la photo : Alice ANDRE sa fille ( robe rayée au centre ) et ces autres filles ( peut etre au 1 er rang coté droit ).Leurs maris ne sont pas présents car partis en guerre ce qui explique qu’il reste que les hommes plus jeune et plus vieux. les deux femmes à droites avec les bébés : des servantes algériennes.
    Qu’en pensez vous ?

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    • désolé, je ne pense pas que ce soit le bon scénario, en effet sur la photo je ne reconnais que Alice André (robe rayée) et une de ses sœurs (avec le chemisier blanc et le nœud), ses autres sœurs n’apparaissent pas sur la photo, et le monsieur en costume blanc ne ressemble pas du tout à Paul André, sa femme Marie Louise Condomines n’est pas non plus présente sur la photo.En ce qui concerne le batiment, je pense qu’il s’agit de la mairie de Pont de L’isser.Pour ce qui est de la date de prise de la photo, Alice André s’est marié à Pont d l’Isser en 1915, mais en 1916 et 1917 elle était à Ain Temouchent, elle serait revenu à Pont de l’Isser en 1919 jusqu’à sa mort en 1943 ; j’ai calculé ses dates par rapport au lieu de naissance de ses enfants.

      Voir en ligne : http://gw.geneanet.org/cguillard

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    • La réponse donnant comme hypothèse Pont de l’Isser en Algérie m’intéresse beaucoup car mes grands-parents BERNARD se sont installés dans ce village d’Algérie après la guerre de 14-18, et mon grand-père y était le médecin "de colonisation".

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  • D’après les robes des dames, on peut penser que la scène se passe vers 1920/1922
    remarquez le nombre de femmes dont certaines en grand deuil, et les plus jeunes en deuil simple. Oserai-je dire qu’il s’agirait d’une cérémonie lors de l’inauguration du monument aux morts ou quelquechose de semblable.
    selma cayol

    Voir en ligne : http://delaterreverslamer.over-blog.com

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  • Bonsoir,
    Je n’ai peut être pas de date à vous communiquer, simplement une réflexion.
    On pourrait peut être prendre comme période : été 1918. Ce qui correspondrait avec la mélancolie ambiante et la présence féminine.
    La mode des années 30 n’est pas tout à fait celle ci. Les chapeaux sont moins larges. Pour cette photo, on est plus années 10 ou 20.
    Cordialement

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  • Qui pourrait m’aider à "faire parler" ces deux photographies anciennes

    Juste une suggestion, et s’il s’agissait d’une photo à l’occasion de la prise de voile d’une rélgieuse, justemment ? (pas forcément celle de la photo suivante.)
    A son entrée au couvent, certains Ordres exigeaient qu’elles renoncent à jamais à rencontrer leur famille. Une de mes cousines n’avait pu assister aux obsèques de son père. Cela expliquerait les chapeaux et habits de cérémonie, les visages aux expressions neutres. Peut-être la famille voulait-ellle garder un souvenir, la furure religieuse figure peut-être sur cette photo ?

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  • S’il n’y a pas beaucoup d’hommes (assez logique si le cliché a été pris en temps de guerre), vous remarquerez qu’il y a encore moins de jeunes — ce qui est beaucoup plus étonnant. j’ai compté seulement 5 enfants pour au moins 15 femmes en âge d’en avoir. On dirait que seuls les plus jeunes enfants ont été emmenés par leur mère, qui ne pouvaient sans doute pas faire autrement. Comme si l’évènement du jour n’avait pas été adapté à un jeune public.

    Par conséquent, j’avais éventuellement pensé au personnel d’une entreprise ou d’une institution, posant autour de leur directeur, qui se seraient réunis un jour de repos à l’occasion d’un évènement particulier. S’il s’était agit d’un évènement festif traditionnel, je pense qu’il y aurait eu plus d’enfants.

    PS : il manque visiblement une jambe à la femme assise au 1er rang, 2e à droite.

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  • Je vais essayer de résumer les déductions que j’ai faites à partir des différents messages publiés ici.
    On suppose que la jeune femme à la robe rayée est Alice André, et que la scène se passe à Pont de l’Isser, sa commune de naissance en Algérie, devant la mairie.
    Sur la photo figurent : sa mère,Louise Condomines épouse André, à sa droite avec un chapeau noir.
    Son oncle Alfred Condomines, militaire décédé à Rabat (Maroc) en 1922, l’homme en blanc.
    Une tante, non identifiée, en grand deuil,et les descendants de ces 3 personnes.

    L’hypothèse d’une cérémonie au monument aux morts de la commune semble séduisante.
    On pourrait supposer que la femme en grand deuil a perdu son mari, ou un fils(plutôt un fils) pendant le conflit de 14-18 et que c’est lui qu’on honore ce jour-là. La petite fille assise au premier rang pourrait être la fille du défunt.
    Sur une carte postale ancienne de Pont de l’Isser,on voit un monument aux morts et à l’arrière plan un batiment assez bas qui ressemble à la mairie du village. Les 2 semblent très proches. D’où la photo devant la mairie, peut-être après une réception officielle avec tous les membres de la famille.
    La photo doit avoir été prise dans les années 20, puisque Alfred Condomines est décédé en 1922, que les transcriptions de décès de la Grande Guerre se situent dans ces mêmes années, et que les chapeaux des dames font aussi penser à cette période.

    Toutes ces suppositions restent bien sûr à vérifier, et il faut aussi trouver le lien entre elles et l’oncle et la tante de Chantal Cugno.
    Bon courage, vous tenez le bon bout !!!

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    • À mon avis, s’il s’agissait d’une telle cérémonie, ayant donc eu lieu après guerre, je pense qu’il y aurait eu plus d’hommes (et les anciens combattants seraient probablement venus en uniforme). La 1re GM été une hécatombe mais, dieu merci, quand même pas au point de créer un tel déséquilibre homme/femme. En revanche, pendant la guerre, cela pourrait plus facilement s’expliquer (mais dans ce cas, plus question de monument au morts).

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      • En réponse à Christophe D.:vous avez peut-être raison car tout ceci n’est que suppositions. Mais dans certaines familles il y a un fort déséquilibre entre les 2 sexes. Quant aux éventuels anciens combattants, il se peut qu’il n’y en ait pas dans cette famille. Seuls les membres de la famille se sont fait photographier après la cérémonie. La place de l’homme en blanc, le seul parmi ces femmes, m’intrigue.Pourquoi les autres sont-ils relégués au dernier rang ? A suivre

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    • Je viens de regarder sur Delcampe une vue de la Miarie de Pont de l’Isser. Elle ressemble en effet au monument devant lequel posent toutes ces personnes MAIS regardez bien les marches devant la grande porte : le perron est beaucoup plus large dans le document proposé que sur la carte postale de la Mairie de Pont de l’Isser.

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    • Vous m’avez envoyé un message concernant les BERNARD de PONT DE L"ISSER. Oui, je suis à peu près sûre que mes grands-parents n’y étaient pas installés avant 14-18 car je possède le journal de mon grand-père Eugène. Il a fait ses études de médecin à Alger avant guerre, mais son père, né à Mane en France, était pharmacien à Oran, et y a été enterré.
      Par contre, je peux rechercher ce qui l’a fait choisir Pont de l’Isser comme lieu d’exercice. A priori, je pense que c’est parce qu’il y avait une place de médecin de colonisation. Je pense avoir des cartes postales, je vais me replonger dans ces archives. Bravo à tous pour vos recherches, hypothèses, etc...

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  • 2°photo : une suggestion..........

    Antoine FOURNAIRON (né le 17/01/1875 à Chaveyriat) est bien né de père inconnu et était le fils de Marie FOURNAIRON (FOURNEYRON)née le 19/11/1854 à Chaveyriat (01).

    La religieuse n’est donc probablement pas sa soeur. Un 2° enfant né de père inconnu...celà ferait beaucoup...

    En revanche Marie avait une soeur : Philiberte née le 26/3/1849 à Biziat (01).
    Peut-être cette soeur s’est-elle mariée et aurait eu une fille qui serait donc la cousine germaine d’Antoine (d’où la ressemblance)...

    Voir du côté de Philiberte avec qui et surtout Où s’est-elle mariée ?

    Bonne chance
    JF Girardot

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  • Je rectifie : Alfred Condomines dont j’ai parlé dans mon précédent message n’était pas militaire, mais cultivateur.
    Mea culpa !

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  • J’adore cette rubrique et je lis toujours les réponses.
    En ce qui concerne la deuxième photo, j’ai tout de suite penser à la photo du Papa accompagné par sa fille religieuse . Elle est peut-ètre venue pour assister à un événement familial (décés de Maman ?) et on en a profité pour faire cette photo souvenir.
    Les religieuses ne venaient pas souvent en promenade dans leur famille.
    Quant à l’ordre religieux, j’ai pensé tout de suite à une religieuse Belge ou Suisse. Vu les lieux, la Suisse l’emporte !
    Je vous souhaite de trouver. Amicalement
    Jacotte

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  • la 1e photo me fait penser à une photo des conscrits d’un village (fête des classes) car elle regroupe plusieurs générations. mais je ne comprends pas la présence de cet homme en blanc au milieu des femmes et qui porte un chapeau
    plutôt féminin que masculin, c’est peut-être le doyen.
    Demain je vais essayer de passer dans Chaveyriat pour chercher ce bâtiment mais cela peut-être dans un village proche.Etes-vous sûre de l’orthographe Fournairon, car il y aaussi des Fourneron, je vais essayer de me renseigner à ce sujet. Sur l’annuaire téléphonique des villages proches je ne trouve que Fourneron. Je vais également consulter un vieux livre où il y a la liste des familles, peut-être trouverai-je une Soeur dans la famille.
    Si vous aviez le nom de jeune fille de votre tante(je crois) originaire de la même région, cela pourrait aider.
    Vous avez sans doute compris que je n’habite pas très loin de Chaveyriat et Condeissiat . Je vous tiendrai au courant du résultat de mes recherches . ANNIE

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  • D’après les costumes de l’époque, nous sommes en 1920-22, les deux femmes les plus anciennes (en noir) ont encore des chapeaux et des robes des années 1900 - col haut, chapeau carré.

    Les ressemblances entre les personnages peuvent faire penser à une même famille.

    Nous sommes deux ans après la guerre, les hommes ne sont pas nombreux à en être revenus, d’où leur petit nombre sur la photo. En corollaire il y a peu d’enfants en bas âge, d’habitude ils sont dans les jupes de leur mère surtout sur les photos.

    Pour la seconde photo, c’est plus difficile à dire car les anciens sont rarement à la dernière mode surtout à la campagne. Pas d’avis sur la soeur.

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  • Mieux vaut tard que jamais : j’ai enfin lu l’intégralité des commentaires 😉

    Du coup, j’ai trouvé une photo en meilleure définition de la mairie de Pont-de-l’Isser sur Flick - cliquez ici pour accéder à la photo
    On y voit très bien que la bordure du trottoir est bien présente, mais juste recouverte de sable au niveau de l’entrée du bâtiment. Tout le reste colle parfaitement avec votre photo (même si celle-ci manque de contraste par rapport à la photo du lien, mais on y voit quand même le détail des pierres). Le doute sur le lieu ne semble plus permis.

    Pour la période, si cette photo date d’après guerre, le manque d’hommes (car, je le répète, la 1re GM n’a heureusement pas causé un tel déséquilibre hommes/femmes) et d’enfants pourrait tout simplement s’expliquer par le passage d’un photographe en semaine, pendant que les hommes travaillaient (usine hydro-électrique crée en 1921, travaux aux champs…) et que les plus grands enfants étaient à l’école. Il était peut-être plus facile pour une petite mairie de faire venir un photographe en semaine que pendant le weekend, pendant lesquels ces derniers devaient être réservés aux mariages et cérémonies diverses.

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    • je ne comprends pas comment vous pouvez trouver une ressemblance entre les 2 bâtiments, je n’en vois aucune. il faut examiner détail par détail, par exemple ; le petit panneau d’affichage à droite de la porte n’est pas du tout le même, sur votre photo il est accolé à la porte. Le trottoir
      entre la porte et la bordure n’est pas assez large pour le groupe, etc........
      je pensais à une photo de conscrits mais finalement je ne crois pas car chaque personne devrait porter une insigne.

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      • Augmentez le contraste de votre écran, vous verrez qu’il y a bien une rangée de pierres carrées à gauche et à droite du panneau (carrés plus petits autour de la porte et plus larges à droite du panneau). Il y en a aussi une rangée à gauche, entre la porte et la fenêtre (qui correspond en fait au décrochage de l’entrée). Le volet est le même, ainsi que le contour de la fenêtre. Le trottoir sableux et sa bordure pavée. La tache située en haut, à droite de la photo s’y trouve également. Le panneau semble rigoureusement le même, avec son fond noir et son bord en relief, situé au même endroit par rapport à la porte, enre les deux rangées de pierre. Et les hommes, placés plus haut car debout sur la marche devant la porte.
        Sur cette autre photo (plus petite, malheureusement), vous pourrez aprécier le bâtiment portes fermées, avec des panneaux sombres moulurés. Mis à part le manque de contraste de la photo de l’article, je vois pas ce qu’il vous faut de plus ?

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  • qui pourait m’aider à "faire parler" ces deux photographies anciennes.
    Ma réponse : Comme vous je penserais - années 1925-30 ... où un peu après
    Il doit exister quelque part des descendants des jeunes personnes présentes sur votre photo ; si vous pensez qu’il pourrait s’agir de la famille de votre tante essayez de faire sa généalogie - voir d’où elle venait - la profession de ses parents où de la famille - un industriel....une famille avec une certaine aisance d’après la photo ???-essayez de demander à la mairie de la Cne de Condeissiat si un historien a travaillé sur la Cne ce qui existe où a existé : un château - une usine ???? essayez aussi de connaitre les us et coutumes de la région...
    J’ai connu par ma généalogie, des familles nombreuses de 10 - 12 enfants - et ces frères et soeurs avaient et ont encore l’habitude de se réunir tous, une fois par an une journée pour un repas de famille ; - familles croyantes en général - donc il était choisi une date un évènement important et tous allaient ce jour là à la messe -(ou Pâques ou la Pentecôte ....- où pourquoi pas une messe à la date anniversaire du mariage de leurs parents ....)
    - d’où sans doute toutes ces dames chapeautées sur votre photo ; à cette réunion de famille il n’y avait pas forcément avec eux , leurs enfants ....ce n’était pas une obligation. Et par chez nous ont dit facilement ( personnellement je n’aime pas ) pour la photo il n’y avait pas les pièces rapportées, juste la famille de sang.(vs dites pas beaucoup de Messieurs)
    Pour le Mr tout en blanc on peut imaginer que lui vivait aux colonies (un colonial revenu pour cette réunion de famille ....)
    J’éliminerais facilement certaines réponses qui vous ont été suggérées - ( devant la mairie ?? )tout simplement dans un petit village devant ce qui se trouvait le mieux pour la photo de famille - (on aperçoit des volets...)(la boite aux annonces de la mairie il faut avoir beaucoup d’imaginations ???)
    Il vous faudrait aller voir s’il existe encore un lieu s’y rapprochant ; essayer de rencontrer dans le village de Condeissiat (01)des personnes qui y ont tjrs vécu et qui se souviennent peut-être ...qui reconnaitraient des personnes de la photo... Je ne peux que vous donner q.q. idées
    Essayer surtout de refaire la généalogie - montante et descendante à partir de votre ar.gd-père ( allez voir les personnes âgées de votre famille - posez vos questions et j’ai envie de vous dire laissez les réfléchir et reposez les mêmes questions un certain temps plus tard - vous aurez peut-être une autre réponse vous aurez fait se réveiller des souvenirs.
    Avec toutes les possibilités de communications de maintenant vous allez certainement trouver. Je vous le souhaite ; ne baissez surtout pas les bras..
    Jeannine Courcier - l rue de la Nouette - 72160 Tuffé

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  • Voir le lieu ou les lieux de résidence de votre oncle. Chercher sur le net les associations qui existaient ?
    Les évenements qui peuvent s’être déroulé.
    Photos d’ouvrières d’usine ou d’aralier de confection ????
    Bonne recherche
    Bien à vous

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    • Réponse - à Qui pourrait m’aider à "faire parler" ces deux photographies anciennes -
      Je ne crois pas qu’il faille penser à des ouvrières d’usine - pour la photo, elles seraient en tenue de travail - elles n’auraient pas leurs jeunes enfants avec elles.
      Ce que l’on peut remarquer : les Mrs n’ont pas le "noeud papillon" - les dames tout en étant avec des habits des grands jours...plus que les Messieurs, n’ont pas de bijoux, de pendentif...c’est un peu surprenant ... ce qui laisse supposer que ce n’est pas un évènement très important.
      Jeannine Courcier

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  • Qui pourrait m’aider à "faire parler" ces deux photographies anciennes.
    Je reviens pour la religieuse ; si vous n’avez pas de réponses satisfaisantes - cette religieuse étant prise avec votre ar.gd-père pourrait être sa fille peut-être (ou sa soeur..selon vous) Il vous faut reconstituer la famille complète à votre ar. gd-père retrouver la naissance de ses enfants - leur mariage - leur décès - peut-être verrez vous un prénom qui correspondra à une fille restée célibataire et sur son acte de naissance vous y retrouverez peut-être son lieu de décès et là (en religion Soeur xxx) décès après 1925 ou 1930 cet acte devrait être parlant.
    Si c’est sa fille elle apparaitra dans sa succession - rechercher aux Archives départementales la déclaration de Ssion ; (à moins qu’elle ne soit d.c.d. avant lui- voir alors la Ssion de son épse votre ar.gd-mère. Elle aura peut-être donné une procuration et vous verrez où elle habitait à une certaine époque (même si quelqu’un vous donne l’ordre religieux vous avez un autre travail à faire vous-même)
    J’ai connu ce cas dans ma propre famille en I et V -dans deux branches dont 3 sont devenues des "Soeurs" - deux sont entrées au Noviciat de Ruillé sur Loir (72)"La Providence" et une autre est entrée au Noviciat des F.S.E. d.c.d à la Maison Mère à St Brieuc donc toutes trois, loin du domicile de leurs Parents.
    J’ai pu obtenir pour les trois leur parcours, de leur entrée en Religion à leur décès ; je n’ai pas cherché à avoir une photo mais vous me donnez une idée et je vais repartir faire cette recherche ; pour le moment je ne peux vous aider plus. J’aime lorsqu’il y a une part de mystère ....
    Bon courage
    Jeannine

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  • un site avec des contacts peut etre utile .L’Amicale de Pont de l’Isser :
    http://www.pontisser.com/Historique.html

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  • Bonjour,
    Une chose m’étonne beaucoup sur la première photo : les personnes les plus âgées sont toutes debout et au second plan. Se pourrait-il que le personnage principal de cette scène soit la jeune fille souriante en tenue claire avec un pied levé ?

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  • Je reviens ce soir vous proposer 2 dernières hypothèses.
    1:J’ai l’intime conviction que cette photo a été prise devant la mairie de Pont de l’Isser peu de temps après la fin de la guerre 14/18. Sans doute immédiatement après l’inauguration du monument aux morts ou simplement après un hommage aux morts de la commune.Certains hommes du village ne sont peut-être pas encore rentrés de la guerre pour diverses raisons : prisonniers, convalescents dans des hopitaux ou sanatoriums etc..C’est pourquoi il y en a très peu sur la photo.
    Il y a eu 39 morts pour la France ayant un lien avec cette commune. Sur les 39, 18 ont un nom à consonnance française. Parmi ceux-là 1 seul a retenu mon attention : Firmin, Pierre ALIBERT, né à Tassin le 24/1/1892, décédé à Bouleuse (51) le 20/04/1917. Son décès a été transcrit à Pont de l’Isser le 23/10/1917 (source : mémorial Genweb). Il est le cousin germain de Pierre, Louis ALIBERT, lui-même marié avec une soeur d’Alice André. Cette parenté expliquerait la présence de la dite Alice et de sa soeur Marthe sur la photo.
    D’autre part, la mère de Firmin ALIBERT s’appelle Rosalie ALBERGE et elle est née en 1860. Cette femme a une soeur, Marie, Alexandrine, née en 1862 et un frère Pierre né en 1868. Compte tenu de la ressemblance frappante entre les 3 personnes les plus agées de la photo, je pense que se pourrait être eux. La femme en grand deuil serait Rosalie ALBERGE, la mère de Firmin.
    La jeune femme en noir à droite de l’homme en blanc, pourrait être la veuve de ce soldat mort pour la France, et la petite fille seule devant, sa fille.
    Les autres personnes peuvent être des membres des 2 familles, voire d’autres cousins ou parents plus ou moins éloignés. Dans les petits villages, les alliances mûltiples entres différentes familles étaient, en général, nombreuses. Ceci expliquerait pourquoi certaines sont vêtues de noir et d’autres de couleurs claires, selon la proximité.
    2e hypothèse : il s’agit tout simplement de personnes du village, sans lien familial, ayant assisté à cette supposée inauguration.
    Cela me paraît moins probant, compte tenu des ressemblances entres plusieurs personnes.
    Tout ceci ne sont que des hypothèses basées sur des données trouvées sur internet, et n’engagent que moi qui ne suis nullement concernée par cette photo. Mais les enigmes me passionnent....vous l’avez sans doute remarqué !!
    Cordialement
    D.JEANNE

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  • j’ai trouvé un site ou figure les photos des soeurs d’Alice ANDRE. Il serait sans doute très interessant de consulter /comparer la photo de groupe dont nous a parlé cguillard ( et qui semble la meme sur ce site http://larbredevies.free.fr/)avec celle de chantal cugno.

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    • bonjour,
      je me prends à votre jeu.
      effectivement deux des sœurs d’Alice André figurent sur la photo de la mairie de Pont de L’isser : la première femme complètement à gauche est Angèle André, et je pense que Alodie André correspond à la femme au chapeau sombre et fleuri, au centre du premier rang. Comme sa soeur Alice, elle porte la même toilette que sur la photo de cguillard.
      Par contre, je n’ai pas reconnu Marie Louise Appolonie.
      Le petit Erembert, fils de Angèle André est indubitablement le petit garçon blond en costume de marin.

      la photo d’une partie de la famille André de CGuillard est visible sur la page : http://www.planete-genealogie.fr/cguillard/. où figure également une autre photo d’Alice André, avec son mari et l’un de ses enfants.

      Cordialement,
      AHamon

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      • En effet, on retrouve bien une partie de la famille André sur la photo de planète généalogie. Marie, Louise, Appolonie ne serait-elle pas la dame avec 2 enfants ? Ses enfants sont Cyrille et Aline Alibert. Elle est décédée à la naissance du 3e le 5 mai 1928.
        Une rectification : Erembert n’est pas le fils d’Angèle, mais celui d’Alice.
        Il apparaît sur les photos du site "arbres de vie", et ne paraît pas blond. Ce n’est donc sans doute pas lui en costume marin.
        Cordialement. D.Jeanne

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    • Bravo pour votre trouvaille !
      Effectivement, d’après C. Guillard, la jeune femme avec jupe noire et chemisier blanc avec un noeud, est Marthe, Alaudie ANDRE. En comparant les autres photos du site et celle de C. Cugno je me demande si l’autre soeur, Angèle, n’est pas à l’extrème gauche en noir.
      Pierre, Louis ALIBERT pourrait être le premier homme sans chapeau.
      Une certitude se dégage, la photo est liée aux familles ANDRE et ALIBERT en Algérie, à Pont de l’Isser.
      Voilà qui devrait permettre à Chantal CUGNO de circonscrire et d’approfondir sa recherche.
      Je lui souhaite bon courage, et par curiosité, j’aimerai bien en connaître le fin mot.
      Cordialement. D.Jeanne

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  • J’ai consulté le livre dont je vous avais parlé, plusieurs familles Fourneron mais pas d’Antoine ; je vous conseille de
    vous adresser à l’Association "les Amis du Vieux Vonnas",présidente M.T.Fourneron, adresse : mairie de Vonnas(01540). Votre arrière grand-père est décédé à Condessiat, mais voir si l’inhumation est au même endroit.
    Avec livrets de famille de vos parents et
    grand parents vous pouvez démarrer vos recherches généalogiques. Il s’est sans doute marié dans le village de son épouse, voir les témoins (peut-être la Soeur).
    Annie

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  • Peut-être un costume de chanoinesse ?

    "Hors du choeur, les chanoinesses avaient un costume presque séculier, mais toujours d’étoffe noire, un bandeau blanc sur le front, et la croix de leur chapître attachée sur l’épaule......."

    Annie

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    • Bonjour,

      Dès que j’ai vu la seconde photo et avant de lire votre post, ma première réflexion fut "C’est une religieuse travaillant dans un orphelinat ou enseignante", car son habit est celui que portaient ces Soeurs.

      Dans ce cas, ce pourrait être une Soeur Ursuline. Elle est en habit de "travail" et porte une cape couvrant les épaules, et non pas un manteau comme dit dans un des posts précédents. De même, si une religieuse porte un anneau, elle a fait ses voeux, car elle reçoit l’anneau à ce moment là, parce qu’elle se marie à Dieu.

      Les Ursulines avaient charge, d’enseignement, de soins aux malades et indigents, et s’occupaient des orphelins, et leur costume de "travail" est très proche de celui de votre photo

      Mais naturellement, ce ne sont que quelques remarques, mais peut-être est-ce une piste....

      Bonnes recherches

      Yves

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  • La liste des morts pour ma France de Pont-de-l’Isser est intéressante à plus d’un titre : http://www.memorial-genweb.org/ memorial2/html/fr/resultcommune.php?dpt=9352&idsource=57166&table=bp09

    En tout cas, elle m’inspire trois réflexions :

    • Il faudrait connaitre le nombre d’habitant à l’époque mais avec 39 morts, le village a, à priori, payé un lourd tribut. Ce qui pourrait en partie expliquer l’important déséquilibre H/F que l’on observe. Mais une partie des hommes rescapés peuvent aussi être au travail au moment de la prise de vue — d’ailleurs, quand on y pense, il devrait aussi y avoir plus d’hommes ayant entre 40 et 60 ans, n’ayant de toute évidence pas été concernés par la guerre.

    • Si la photo fait référence à un hommage aux victimes de la guerre, il y manque visiblement les locaux. J’imagine mal un tel rassemblement-hommage sans convier les algériens de souche, nombreux à être tombés eux aussi. Je sais bien que les rapports n’étaient pas tout roses entre les deux communautés mais il ne faut pas exagérer.

    • Si la photo fait référence à une réunion de famille, il manque au moins une partie des enfants. Ils ne sont que 5 sur l’image, tous en bas âge. Si la photo date de 1925, vu le nombre de femmes, on devrait au moins en trouver quelques uns nés avant la guerre, ayant entre 10 et 15 ans (ils devraient même être majoritaires car il y avait plus d’hommes à l’époque). Là, il ne semble y avoir que des enfants nés après guerre. Comme si la photo avait été prise pendant que les enfants en âge d’y être étaient à l’école.

    Voila pour mon intervention hebdomadaire ! 😉

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    • Vos remarques sont intéressantes, mais il me semble que la photo a été prise avant 1925. Pour moi, les hommes qui ont participé à la guerre ne sont pas encore rentrés. Sur planète généalogie C.Guillard montre 2 photos de sa famille. Sur la deuxième on voit Alice ANDRE, son mari et un enfant. Le mari semble arborer une belle collection de décorations, sans doute acquises pendant la guerre 14/18. Hors il n’est pas présent sur la photo qui nous intéresse. J’en déduis qu’il n’était pas encore rentré lorsque cette photo a été prise....A suivre

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  • Bonjour,
    Personnellement, je suis né huit années avant l’indépendance de l’Algérie à Pont de l’Isser. A mon avis ces photos sont prises à Pont de l’Isser dans les années 1920-26. Je connais bien cette place et cette ancienne mairie de Pont de l’Isser. Les premiers colons ( de 1830-60) ont bien développé cette région en agriculture ( on voit ce monsieur avec cette soeur près d’une porte de la ferme de LEGIER ou de BOUTEILLE). Cette région avait les atouts de construire des infrastructures et un pont pour profiter du transport routier et l’acheminement de l’eau de la rivière dans les champs car jadis, Pont de l’Isser était très développé dans les arbres fruitiers comme les orangers et les vignes. Ces colons venaient la plus du temps de Bretagne et du sud comme les Familles ICARD, BERNARD, ROCH, ALIBERT, LEGIER, BOUTEILLE et d’autres familles qui ont bien participé au développement primaire de cette région. La première photo montre la tradition familiale soudée.

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    • Après avoir reçu beaucoup de réponses et des hypothèses diverses et variées, vous êtes le seul à me mettre sur une voie à laquelle je ne m’attendais pas. Effectivement, je me suis complètement trompée sur l’identité du monsieur avec la religieuse. Je le prenais pour mon arrière grand père (grand père maternel de ma mère), mais ma foi non, il s’agit surement de Prosper Vivier fils de Thoinon dit boisson Marie Cécile (soeur de mon arrière grand-mère et grand père paternel de ma mère) mariéé avec Vivier Benoit Léandre et décédéé à Pont de L’isser le 27/08/1954. C’est fort possible puisque ces photos ont été retrouvées chez le fils de mon grand père. Merci, je suis très heureuse de pouvoir enfin diriger mes recherches dans ce sens.
      Cordialement

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      • Merci pour la réponse et sur tout le travail excellent que vous fait en généalogie.
        C’est dommage, j’étais né en 1954 (à environ 70 mètres de la mairie de Pont de l’Isser) et cette année la mère de Prosper VIVIER était décédée. Donc, je pense que vous êtes dans la bonne voix car la famille VIVIER et BARTHE vivaient côte à côte.
        La famille BARTHE possédait une boulangerie et les autres s’étaient des agriculteurs possédant de vastes jolies maisons où ils exerçaient leur métier.
        Je pensent aussi que les familles des petits fils d’ICARD, VIVIER et BARTHE possèdent des informations exactes qui vous intéresse.
        Bien cordialement.

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  • bonsoir
    Ce que je peux vous confirmer à propos de la photos de groupe c’est qu’elle a bien été prise devant la mairie de pont de l’isser (algerie)
    Je connais l’endroit pour y avoir écrit une anecdote (comment corriger les enfants terribles.) http://pontdelisser.voila.net/enfance.htm
    Entre 1904 et 1919 Dominique PEYVERGES était le maire du village.Vous trouverez sur internet l’adresse de son petit fils si cela peut vous aider.
    On peut toutefois rester en contact pour d’autres infos.....
    sur l’epoque.
    Cordialement

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  • Bonjour,

    je pense qu’il faudrait faire un zoom pour essayer de lire ce qu’il y a dans le panneau d’affichage de ce qui doit être une mairie. Certainement on y trouverai une date et un lieu.

    Rest à savoir comment faire techniquement, c’est peut être possible.
    Cordialement
    Marie

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    • Bonjour,
      Merci beaucoup Marie de donner cette idée concernant cette photo noir et blanc surtout lire visuellement le panneau de l’affiche en format
      21cm x 29,7 cm (format A4) avec une écriture en millimètre, c’est très difficile même en zoomant car la photo dépend du nombre de pixels et surtout sa résolution. Je vous tiendrai au courant s’il y a une possibilité pour décrypter cette affiche.

      Bien cordialement, Boubekeur.

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  • Concernant cette première photo,le panneau d’affichage est difficile à décrypter. A mon avis cette affiche mentionne des informations concernant la mairie et sa population. Cette photo est prise durant une fête ( soit religieuse ou autre cérémonie) car à Pont de l’Isser, il y a deux églises : une grande et une petite. La distance entre la grande église et la mairie est d’environ 50 mètres, avec les monuments aux morts et la mairie la distance est d’environ aussi 80 m.La salle des fêtes ( en même temps salle de cinéma) est juste à côté (à 10 m.), un mur les sépare. Je pense aussi que les différents hommes en haut de la photo sont des fonctionnaires de la mairie et des gendarmes-militaires de Pont de l’Isser car la gendarmerie est à environ aussi 80 m. dans le même trottoir que la mairie.

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  • Bonjour, ayant fait des recherches moi aussi dans les photos de famille, j’ai souvent constaté et trouvé des photos ou mon grand père était photographié en compagnie de ces collègues de travail , soit devant l’entreprise soit sur un lieu public.
    Je pense donc au vu de cette photo, qu’il s’agirait plutôt , étant donné que l’on y voit presque que des femmes , d’une entreprise de chapellerie qui est soit mise à l’honneur de la ville soit récompensé. Les hommes se trouvant en arrière plan c’est donc bien les femmes qui sont mise à l’honneur
    A méditer de ce coté là peut-être ?

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