J’ai toujours pensé que mes origine étaient marseillaises, et bien non, mon père et mon grand-père sont natifs de Marseille mais mon arrière grand-père a vu le jour à Laserre de Moulis dans l’Ariège !
![]() |
|
Accueil -
Articles -
Documents -
Chroniques -
Dossiers -
Album photos -
Jeux -
Entraide -
Lire la Gazette -
|
Accueil > Articles > Chroniques de nos ancêtres
En partenariat avec Généanet , la rubrique Chroniques de nos ancêtres vous propose de découvrir des aspects variés, parfois insolites ou méconnus, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos ancêtres à travers la présentation commentée de documents d’archives et de témoignages anciens, puisés dans toutes les régions et à toutes les époques.
Dernier ajout : le 31 mai.
J’ai toujours pensé que mes origine étaient marseillaises, et bien non, mon père et mon grand-père sont natifs de Marseille mais mon arrière grand-père a vu le jour à Laserre de Moulis dans l’Ariège !
Le 3 septembre 1939, la France déclare la guerre à l’Allemagne. Dans les jours qui suivent, l’armée française réquisitionne tous les chevaux dont le pays dispose. Marcel, à regret, doit se défaire de Mignon, un magnifique cheval de trait, haut, puissant et gentil.
Quand est-ce qu’il reviendra ?
Un article d’Emma LOZANO, paru dans Une Saison en Guyane Hors-série n° 3 – Pages 68 à 73., intitulé Le Centre d’Interprétation de l’Architecture et du Patrimoine (CIAP) attire particulièrement mon attention : Une noix de coco sculptée par un bagnard, détenu sur les Îles-du-Salut, a appartenu à un certain MEYSSONNIER de L’Isle-sur-la-Sorgue. Mais qui était ce personnage ?
C’est toujours avec un réel plaisir que je me plonge dans les écrits des mémorialistes et des chroniqueurs de l’Ancien Régime, notamment le Journal de Pierre Taisan de l’Estoile (1546-1611), un bourgeois parisien dont la famille était originaire de l’Orléanais. Pour reprendre une citation de Saint-Beuve, « Ce sont, en effet, les bruits de Paris que l’Estoile reproduit fidèlement » dans ses mémoires. Avec le texte suivant, je vous propose le récit d’un banal accident domestique...
À l’évidence, il existe dans les cimetières de nos villages, bourgs et villes de nombreuses tombes anciennes remarquables et pourtant négligées, oubliées, abandonnées et donc menacées de disparition. La plus ancienne tombe de Laboissière en Thelle n’a échappé au funeste destin qui lui était dévolu que par un improbable concours de circonstances dont voici le récit...
La mémoire familiale disait que le Duc d’Aumale avait été le parrain de la première fille D’autremant née en Algérie sous prétexte que mon arrière-arrière-arrière grand-père était noble selon les uns ou pour le remercier de services rendus pendant la conquête de l’Algérie en 1830 selon les autres membres de la famille. En fait en recoupant les dates et les événements et le contexte de l’époque, je n’étais pas convaincu par ces arguments...
Malgré des heures et des heures, des jours et des jours entiers à éplucher les actes de toutes natures, tant autour de Saint-Hostien que dans la Loire et même jusqu’au Rhône par la vallée du Gier où s’étaient déjà installées d’autres branches portant le même patronyme, les relevés généalogiques d’associations diverses, les recensements, les tables de succession... Louis Gérentes avait bel et bien disparu... Or, on finit toujours, l’expérience venant, et un labeur acharné, par trouver un fil, si ténu soit-il, pour se raccrocher et découvrir une piste à explorer. C’est ce qui rendit le mystère encore plus tentant à résoudre...
Voici la saga des Brochant, une famille parisienne de la noblesse commerçante qui a eu la constance de rester dans le métier de marchand drapier fournissant les Ecuries du Roi de 1615 à la Révolution ? La découverte de trois générations de BROCHANT, fils, petits-fils et arrière-petits-fils des premiers, attachés à la même profession a développé ma curiosité sur cette famille.
Au début de l’année 1915, on est bien obligé d’admettre que la guerre qu’on avait imaginée rapide va durer, entraînant la mort de nombreux soldats, la séparation des couples et la misère matérielle de nombreuses familles. C’est ainsi que le sénateur-maire de Lyon, Edouard Herriot lance un appel, le 8 février 1915 dans Le Journal au garde des Sceaux, pour qu’une loi ou un décret permette le mariage par procuration des soldats mobilisés :
Joseph François Eugène BOULNOIS naît à Moncornet (02) le 4 décembre 1862. Il épouse le 19 mai 1883 à Reims (51) Eugénie Victorine ROGÉ, une journalière. Si l’on en croit l’état-civil, il a eu 9 enfants légitimes nés entre 1884 et 1902 dont : Camille Désiré né en 1896, Émile Adolphe en 1898, Georges Adolphe en 1900 et Madeleine Marie en 1902. Le problème est que Joseph François Eugène est décédé le 20 septembre 1896 à Iracoubo (Guyane). Voici son histoire...
https://www.histoire-genealogie.com
- Tous droits réservés © 2000-2025 histoire-genealogie -
RSS 2.0
| Plan du site
| Mentions légales
| Conditions Générales d'utilisation
| Logo
| Espace privé
| édité avec