Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
Accueil - Articles - Documents - Chroniques - Dossiers - Album photos - Jeux - Entraide - Lire la Gazette - |
Accueil > Articles > Chroniques de nos ancêtres
En partenariat avec Généanet , la rubrique Chroniques de nos ancêtres vous propose de découvrir des aspects variés, parfois insolites ou méconnus, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos ancêtres à travers la présentation commentée de documents d’archives et de témoignages anciens, puisés dans toutes les régions et à toutes les époques.
Dernier ajout : le 25 septembre.
Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
La première image qui me vient à l’esprit est celle d’une vieille dame, forte, habillée de noir. Mademoiselle Berthe est assise derrière le comptoir de sa boutique, je ne vois que sa tête et le haut de son buste. Autour d’elle tout est un peu sombre, dans des tons fanés. Ce que je décris semblerait bien triste, peu attirant, mais pour moi qui étais très jeune, c’était le contraire. Car, dans le Calvados, plus précisément à Douvres-la-Délivrande, la boutique de mademoiselle Berthe, c’était à mes yeux la caverne d’Ali Baba. Le comptoir et sa caisse étaient me semble t-il près de la porte d’entrée de la boutique, dans un angle du magasin, jouxtant une vitrine sur un des petits côtés du local.
Si la mention « dévoré » ou « mangé par la bête » ou « par le loup » est souvent utilisée par les curés dans les registres paroissiaux à l’occasion de l’inhumation des restes de cadavres humains, il est parfois délicat d’interprêter ces écrits. Une grande variété de termes désignent en effet les bêtes responsables des décès constatés par les curés. On parle certes souvent de « loups » mais aussi de toutes sortes de « bêtes » qu’il serait hasardeux de classer sans plus de précautions dans la catégorie « loup ».
En juillet 1818, les tragiques épisodes de la "bête féroce" du Gévaudan des années 1764 à 1767 sont encore dans la mémoire des populations d’une vaste zone géographique qui s’étendait alors de l’actuel département de la Lozère au canton de Saugues en Haute-Loire. Certes, la situation n’est plus la même, puisque cette fois il ne s’agit pas de traquer une "bête féroce", mais de rappeler les primes accordées aux chasseurs de loups. L’information est alors publiée dans le Journal de la Haute-Loire le 8 juillet 1818.
Amies lectrices, amis lecteurs pour poursuivre la découverte du calendrier agro-liturgique que vous propose L’Almanach Paysan , je vous propose de recenser autour de vous, dans votre espace géographique proche, la survivance des rites du paganisme et des superstitions anciennes. Vous verrez que l’expression de « l’étrange » et du « merveilleux » est encore bien présente dans votre environnement local. Pour ma part, lorsque je me suis installé dans le Roannais, en provenance du Velay, du Forez et du Lyonnais proches, j’ai été extrêmement surpris de constater que beaucoup de familles avaient régulièrement recours à des rites de conjuration pour soulager des pathologies diverses... y compris au sein du milieu hospitalier où elles bénéficiaient de l’autorisation bienveillante du personnel médical.
René CHAMPIN est né le 25 février 1920 à Thiers (63) demeure à Villiers-sous-Grez (77) depuis 1926. Il est recensé militaire à Melun matricule 1940 - 3306 (inaccessible pour l’instant). Il est dans l’Aviation. Est-ce un hasard ou un coup de piston ? son oncle Paul GAUTHIER frère de sa mère (1897-1944) s’est engagé 2e groupe d’aviation en 1915, brevet de pilote 1917, base aérienne d’Istres 1936, contrôleur chez Gnome et Rhône (SNECMA) jusqu’en 1940 et Édouard DEROIN (1897-1938) aussi son oncle mari de sa marraine Raymonde s’est engagé 1er groupe d’aviation 1915, 1er groupe d’aérostation, 401e et 403e R DCA.
Le 8 mai 1902 a lieu la plus grande catastrophe naturelle française, l’éruption de la Montagne Pelée, dans le nord de la Martinique. Voici la "lettre d’un disparu". Elle concerne le récit des dernières heures de l’instituteur Roger Portel, à St Pierre, lettre adressée à son frère Joseph Portel, de Toulon (mon grand-père). Cette lettre émouvante a été reprise dans mon ouvrage "Noirs et Blancs" récemment paru.
En cherchant des renseignements sur ma famille, je trouve un entrefilet dans le journal qui m’interpelle : juxtaposition de deux affaires similaires en apparence ayant entrainé des jugements différents !
Fin des années cinquante, enfants, nous allions de temps en temps en Flandre, chez nos cousins belges, du côté de nos grands-parents paternels. Ils étaient originaires de cette Flandre tant éprouvée et tant détruite pendant la Grande Guerre (1914-1918). Leurs villages étaient situés sur l’axe Ypres-Bailleul correspondant au front de la bataille de l’Yser et du saillant d’Ypres entre l’armée allemande d’une part et les armées alliées belge, française et britannique d’autre part.
En remontant dans le temps pour identifier les ascendants de la branche bourguignonne de ma généalogie, je me suis arrêté sur un manœuvrier, Claude GAUTHEROT (1668-1722), habitant à Eringes, petit village de Bourgogne du Nord, situé dans le bailliage de l’Auxois. Ayant vécu dans une époque particulière de notre histoire, le siècle de Louis XIV, nous nous proposons de lui laisser le soin de nous raconter le déroulement de sa vie. Mais auparavant situons le village d’Eringes et sa région.
https://www.histoire-genealogie.com
- Tous droits réservés © 2000-2024 histoire-genealogie -
RSS 2.0
| Plan du site
| Mentions légales
| Conditions Générales d'utilisation
| Logo
| Espace privé
| édité avec