En se mariant avec Marie Monnet en décembre 1862, Claude ne savait pas sans doute qu’il allait en résulter pour lui une nouvelle activité professionnelle, même s’il s’agit toujours de commerce. Le domaine est différent de ce qu’il a connu jusque-là, c’est le monde du sabot et des galoches, où ses deux beaux-frères par alliance, les Chapolard, se sont investis à la suite de leur père.