Selon France Inter, la généalogie génétique est la nouvelle “arme fatale” des policiers pour résoudre des cold cases. En pleine expansion aux États-Unis, cette technique ADN est en train de révolutionner les enquêtes policières. Jusqu’ici interdite en France, elle intéresse au plus haut point les enquêteurs tout en posant des questions éthiques et juridiques. À écouter ou à lire sur le site de Radio France...

Résumé de l’épisode précédent : Georges HARDIN est un enfant abandonné à Paris dont on a retrouvé la famille à Bayonne. Ce n’est pas une famille ordinaire : la mère a épousé un escroc notoire, l’oncle est parti en Algérie et la tante Joséphine mérite un article pour elle toute seule. Joséphine est la troisième fille de François HARDIN et Jeanne HIRIGOYENi. Elle nait à Bayonne le 20 septembre 1862.

Une amie qui vient de faire du tri dans ses affaires de famille a trouvé ces deux objets en bois. Nous ne savons absolument rien sur ces objets sinon qu’ils devaient appartenir à sa maman ou sa grand-mère, qui vivaient dans le département de l’Oise. Nous n’avons aucune idée de leur utilité ni de la date d’utilisation. Qui aurait une idée ?

À la nuit tombée, après avoir été chercher des épiceries, Marie-Françoise et Joséphine Vavasseur rejoignent l’école communale dont la première est directrice depuis novembre 1902. Depuis que les Sœurs de Jésus ont été chassées de l’établissement créé par leur congrégation en 1877, le climat est tendu avec les cléricaux de la paroisse qui s’estiment spoliés. Marie-Françoise, qui était auparavant en poste à Landudec, est habituée aux injures, sarcasmes et autres grossièretés. Selon l’inspecteur primaire, c’est une maîtresse laborieuse à l’intelligence ordinaire qui s’active à accomplir sa mission du mieux qu’elle peut.

Depuis deux cents ans les pertes humaines provoquées par les guerres civiles de la Révolution dans l'Ouest sont l'objet de débats historiographiques. Ce genre de polémique, même s'il n'est pas provoqué seulement par des objectifs scientifiques, a cependant l'avantage de stimuler la réflexion et d'obliger à définir les cadres conceptuels dans lesquels la recherche s'effectue (ou devrait s'effectuer). Car aussi étonnant que cela puisse paraître, et malgré les passions que la guerre de Vendée ou la Terreur ont pu susciter, les pertes démographiques enregistrées en Vendée « militaire » pendant la Révolution n'ont jamais été étudiées systématiquement. Il est hors de question de donner une réponse maintenant à cette question, seulement d'en proposer une approche.

« Matilla brûle ! » C’est avec ces mots que Monsieur Serrisier, maire de Saint-Nicolas-aux-Bois, interpelle Monsieur Leriche, brigadier-forestier. En ce matin du 3 juillet 1931, inquiet de ne pas avoir vu son employé depuis 3 jours, le maire se rend dans la forêt. Arrivé au campement du charbonnier il voit l’un des fours fumer étrangement et fait la macabre découverte des restes calcinés de Mattila Blas. Très rapidement la gendarmerie est prévenue ainsi que le parquet de Laon.

Le n°58 du magazine trimestriel des Archives nationales, Mémoire d’avenir, vient de paraître. En ces beaux jours printaniers, il vous entraîne sur des airs de musique révolutionnaire, à travers un dossier sur l’exposition Musique et République. Ce numéro vous présente également des archives exceptionnelles : les lettres de Charles de Gaulle à ses proches. Il vous dévoile les coulisses de l’institution en arpentant ses sous-sols parisiens et en visitant son atelier de restauration, reliure et dorure. À retenir aussi, l’interview éclairante de Jean-Marc Ayrault, président de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage, sur les traces laissées, en France, par la traite esclavagiste.

Avec les noms de famille : Ce surnom aurait désigné un homme contrefait ou à l’esprit tordu.

Avec les mots du passé : Ce nom ancien désigne les places habituellement humides dans les champs ou les prés.

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