Voici un petit article sur la désignation d’un fleuve, la Seine, à travers les registres du cadastre.
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En partenariat avec Généanet , la rubrique Chroniques de nos ancêtres vous propose de découvrir des aspects variés, parfois insolites ou méconnus, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos ancêtres à travers la présentation commentée de documents d’archives et de témoignages anciens, puisés dans toutes les régions et à toutes les époques.
Dernier ajout : le 12 mars.
Voici un petit article sur la désignation d’un fleuve, la Seine, à travers les registres du cadastre.
Avant d’écrire ce livre – dont la réédition est présentée par la Revue Française de Généalogie d’octobre-novembre 2018 - j’ai d’abord reconstitué la généalogie d’Aubin, listé ses relations familiales et de voisinage. La connaissance de ses familiers était la garantie de sélectionner par la suite, les évènements et les affaires qu’il avait eu le plus de chance de connaître à leur contact. Les articles précédents évoquaient les disputes de voisinage, les violences conjugales et l’enfance d’Aubin marquée par les guerres napoléoniennes. Après les maîtresses de ferme, les domestiques et les journaliers, nous abordons dans une série de portraits, les notables du village. Nous avons, les semaines précédentes, décrit le rôle du curé, de l’instituteur et du médecin. Le dernier article concerne le baron de Cambray : pour les villageois, c’est un être hors du commun. Récit d’une rencontre entre deux mondes.
Avant d’écrire ce livre – dont la réédition est présentée par la Revue Française de Généalogie d’octobre-novembre 2018 - j’ai d’abord reconstitué la généalogie d’Aubin, listé ses relations familiales et de voisinage. La connaissance de ses familiers était la garantie de sélectionner par la suite, les évènements et les affaires qu’il avait eu le plus de chance de connaître à leur contact. Les articles précédents évoquaient les disputes de voisinage, les violences conjugales et l’enfance d’Aubin marquée par les guerres napoléoniennes. Après les maîtresses de ferme, les domestiques et les journaliers, nous abordons dans une série de portraits, les notables du village. Nous avons, les semaines précédentes, décrit le rôle du curé et de l’instituteur. Intéressons nous aujourd’hui à celui de l’officier de santé et du médecin.
Avant d’écrire ce livre – dont la réédition est présentée par la Revue Française de Généalogie d’octobre-novembre 20181 - j’ai d’abord reconstitué la généalogie d’Aubin, listé ses relations familiales et de voisinage. La connaissance de ses familiers était la garantie de sélectionner par la suite, les évènements et les affaires qu’il avait eu le plus de chance de connaître à leur contact. Les articles précédents évoquaient les disputes de voisinage, les violences conjugales et l’enfance d’Aubin marquée par les guerres napoléoniennes. Après les maîtresses de ferme, les domestiques et les journaliers, nous abordons dans une série de portraits, les notables du village. Nous avons, la semaine précédente, décrit le rôle du curé. Evoquons aujourd’hui celui de l’instituteur.
Le temps qui fuit et qui estompe tout sur son passage ne sera jamais parvenu à effacer la tache indélébile qu’aura laissée dans cette vieille mémoire réfractaire au lait de chaux un événement minuscule et fracassant.
Imbert GINCOURT, prisonnier de guerre hongrois, arrivé, bien malgré lui, en 1792 à Mérindol, va être à l’origine d’une famille qui renoncera difficilement à sa nationalité hongroise et mettra près d’un siècle pour devenir pleinement Française ! Que de chemin parcouru entre la première fille de ce prisonnier, mise à l’index par le maire et son arrière-arrière-petite fille, mère du futur maire de Mérindol !
Il y a quelques années, une liasse de documents extirpés d’un étui en zinc trouvé parmi les décombres d’une déchetterie sauvage, nous a permis de reconstituer un épisode peu banal de la vie d’un couple. Voici donc, suivant la chronologie des convocations, jugements, minutes et autres correspondances écrits par des avoués ou des huissiers, l’aventure rocambolesque que vécut un Aurois.
Avant la Révolution, le droit de bac est seigneurial. Après l’abolition des privilèges, la loi du 28 mars 1790 stipule que les tenants de « bacs et voitures d’eau » pourront continuer leur bail. La traversée de la Seine à Caudebec est malaisée. Le fleuve est large de près de 700 mètres (deux fois plus que de nos jours) ; des bancs de vase interdisent l’établissement d’une véritable cale sur la rive gauche ; on ne peut traverser quand le fleuve est « agité par les vents d’ouest ».
Comme tout à chacun, il y a deux ans, j’ai dressé mon arbre dont le tronc remonte au XVIIe siècle. Puis, j’ai fait des recherches dans le but d’offrir à mes proches la petite l’histoire de notre famille TOUSSAINT. J’avais bien constaté qu’une de mes branches ployait sous le poids d’un lourd passé mais je suis restée droite sur ma ligne qui consistait à accrocher les noms et dates de mes aïeux sur les ramifications de mon arbre comme un collectionneur épinglerait des coléoptères sur son présentoir. « Restait » à creuser l’affaire ! et surtout à vérifier qu’elle concernait bien mes ancêtres.
Dans le précédent épisode, nous avons fait connaissance avec la paroisse de Saint-Rambert et de ses habitants, à l’époque de Louis XIV, au travers des registres de sépultures. Dans ce second épisode, je vous propose d’entrer dans les maisons, au chevet des malades, d’écouter leur entourage. De nombreux actes nous permettent d’assister aux derniers instants des hommes et des femmes de ce temps. Si pour la plupart des morts, aucun détail n’est donné, pour d’autres, nous n’ignorons rien des "pourquoi ?" et des "comment ?" de leur décès.
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