Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
![]() |
|
Accueil -
Articles -
Documents -
Chroniques -
Dossiers -
Album photos -
Jeux -
Entraide -
Lire la Gazette -
|
Accueil > Articles > Chroniques de nos ancêtres
En partenariat avec Généanet , la rubrique Chroniques de nos ancêtres vous propose de découvrir des aspects variés, parfois insolites ou méconnus, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos ancêtres à travers la présentation commentée de documents d’archives et de témoignages anciens, puisés dans toutes les régions et à toutes les époques.
Dernier ajout : le 31 mai.
Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
En remontant dans le temps à la recherche des ascendants de Roselyne LEGENDRE, nos investigations nous ont transportés à la fin du 16e siècle, en haute Bretagne, dans le Pays Nantais ou plus exactement dans le pays d’Ancenis, à Maumusson, où naquit Jacques LEGENDRE, en 1582. Nous allons plutôt nous intéresser à l’un de ses descendants, Julien LEGENDRE (1763-1828) qui, lui, est né à Saint-Herblon, une paroisse voisine de celle de Maumusson. Il a vécu à une époque mouvementée allant de la monarchie absolue sous Louis XV et Louis XVI à la monarchie constitutionnelle de Charles X, en passant par la Révolution, le 1er Empire et le règne de Louis XVIII. Nous nous proposons donc de laisser Julien nous raconter sa vie. Mais auparavant situons exactement la paroisse de Saint-Herblon.
Comment Fernand Dijoux est devenu bagnard ? Une étude généalogique et quelques documents de sa correspondance permettent de retracer les grandes lignes de sa vie...
Une de mes amies dispose du récit d’un gendarme qui a transporté des forçats en Nouvelle Calédonie. Elle aurait voulu retrouver les descendants pour leur remettre cette missive. La lecture seule de ce document est fort intéressante. Qui pourrait m’aider à retrouver les descendants de ce gendarme ? Merci pour votre aide...
Résumé de l’épisode précédent : Georges HARDIN est un enfant abandonné à Paris dont on a retrouvé la famille à Bayonne. Ce n’est pas une famille ordinaire : la mère a épousé un escroc notoire, l’oncle est parti en Algérie et la tante Joséphine mérite un article pour elle toute seule. Joséphine est la troisième fille de François HARDIN et Jeanne HIRIGOYENi. Elle nait à Bayonne le 20 septembre 1862.
Quand une cousine de mon père a voulu me brancher sur le grand-père de son mari, je n’étais pas très optimiste. Georges HARDIN vivait dans l’Aube et était un enfant abandonné. Je ne voyais pas trop comment traiter la question jusqu’à ce que je trouve sa fiche matricule : Georges y était mentionné comme pupille des hospices de la Seine. Une piste ?
Il y a déjà près de cinquante ans je suis parti à Soller voir ma grand-mère Margarita Ballester pour les vacances de Pâques. C’est la dernière fois que je l’ai vue à Soller car elle est ensuite tombée aveugle et il a fallu la ramener en France chez mon père. Ne connaissant pas bien Soller et étant seul je marchais au hasard et je suis tombé sur une petite chapelle à la sortie de la ville. Je serais incapable de la retrouver aujourd’hui mais tous les gens de Soller la connaissent. Le mur de gauche si je me souviens bien est couvert d’ex-voto et je me suis mis à en lire quelques-uns par curiosité.
Certains prétendent que nos ancêtres voyageaient peu, et restaient le plus souvent confinés dans les limites étroites du village qui les avait vu naître. Pourtant, de nombreux exemples montrent des émigrations alsaciennes vers la Guyane (Cayenne), dès le XVIIIe siècle, vers le Banat (région historique du sud-est de l’Europe, recouvrant l’actuelle Roumanie occidentale, la partie nord-est de la Serbie et la Hongrie méridionale), et vers l’Amérique, à partir du milieu du XIXe siècle. Voici l’histoire de Madeleine MULLER, dont les déplacements sont dignes d’intérêt.
L’incroyable épopée des routes de France au siècle des lumières fut ainsi le véritable chamboule-tout de la société du 18e siècle, générant des conséquences majeures dans la vie de tout un chacun, au niveau familial, communal, régional et a même bouleversé notre histoire nationale.
Ouistreham, le 6 juin, vers 9h30. Posté à la l’étage d’une villa, Émile Renault observe par une lucarne le casino situé à 100 mètres de là. Transformé en forteresse par les Allemands, ses canons et mitrailleuses tirent sur les Anglais débarquant des barges. Avec son fusil à lunette, Émile a fait feu sur les défenses ennemies. Repéré par des tireurs, une volée de balles claque sur les murs de la maison où il se trouve puis une forte détonation se fait entendre : un canon vient de tirer. Presque aussitôt, Émile ressent un énorme choc qui le projette sur le sol où il reste allongé. Hagard, il ne comprend pas ce qu’il lui est arrivé...
https://www.histoire-genealogie.com
- Tous droits réservés © 2000-2025 histoire-genealogie -
RSS 2.0
| Plan du site
| Mentions légales
| Conditions Générales d'utilisation
| Logo
| Espace privé
| édité avec