Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
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Accueil > Articles > Chroniques de nos ancêtres
En partenariat avec Généanet , la rubrique Chroniques de nos ancêtres vous propose de découvrir des aspects variés, parfois insolites ou méconnus, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos ancêtres à travers la présentation commentée de documents d’archives et de témoignages anciens, puisés dans toutes les régions et à toutes les époques.
Dernier ajout : le 23 mai.
Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
En classant des papiers de famille, j’ai découvert un curieux jugement, effet direct et pervers de la loi de 1905 dite de séparation de l’Église et de l’État, le principal effet de cette loi étant de faire payer à l’ensemble des français, y compris les plus anti-cléricaux, l’entretien des églises, temples et synagogues sauf en Alsace et Lorraine occupées.
Depuis quelque temps Mireille était titillée grave par un questionnement obstiné : d’où viens-je ? Coïncidence ou appel du destin, une affiche dans la médiathèque de notre bonne ville de Saint-Hilaire de Riez invitait ses habitants à une exposition réalisée par l’atelier généalogique de l’association Histoire, Culture et Patrimoine du pays de Rié . Bien sûr, Mireille ne put résister au chant des sirènes et elle fut la plus enthousiaste de nos visiteuses, scotchée devant chaque panneau, hypnotisée par la moindre de nos photos centenaires, béate devant la graphie des actes exposés...
C’est) l’itinéraire de la vie d’Eugène THORET né à Orléans le 5 septembre 1877 et décédé à Alger le 5 février 1951. Né d’une très vieille famille de jardiniers orléanais, rien ne présageait d’un tel parcours. Comme ses ascendants, petits propriétaires, il était destiné à faire fructifier le petit héritage familial dans son lieu natal. Mais son destin en a décidé autrement. Aussi allons nous lui laisser le soin de nous raconter tout cela.
C’est l’itinéraire de la vie d’Eugène THORET né à Orléans le 5 septembre 1877 et décédé à Alger le 5 février 1951. Né d’une très vieille famille de jardiniers orléanais, rien ne présageait d’un tel parcours. Comme ses ascendants, petits propriétaires, il était destiné à faire fructifier le petit héritage familial dans son lieu natal. Mais son destin en a décidé autrement. Aussi allons nous lui laisser le soin de nous raconter tout cela.
C’est l’itinéraire de la vie d’Eugène THORET né à Orléans le 5 septembre 1877 et décédé à Alger le 5 février 1951. Né d’une très vieille famille de jardiniers orléanais, rien ne présageait d’un tel parcours. Comme ses ascendants, petits propriétaires, il était destiné à faire fructifier le petit héritage familial dans son lieu natal. Mais son destin en a décidé autrement. Aussi allons nous lui laisser le soin de nous raconter tout cela.
J’étais revenu faire des photographies au carré militaire du cimetière de Créteil pour illustrer mon dernier article récemment paru dans la Gazette. Ma stratégie d’auto-traitement psychothérapique avait certainement été très efficace puisque, lors de cette troisième visite, je n’ai pas vraiment éprouvé d’angoisse à être présent en ce site où j’avais été par deux fois grandement traumatisé. C’est donc presque sereinement que j’arpentais le lieu ; j’ai commencé par scruter les deux façades de l’imposant monument aux morts inauguré en 1922...
Ce jour était férié, mais ce ne fut pas un jour de congé pour moi car ma classe avait été désignée pour rendre Le devoir de mémoire aux poilus de 14-18 devant le monument aux morts de Créteil. L’annonce nous avait été faite la veille par notre vénéré instituteur Monsieur Louis Allezard. Il n’avait guère été disert, mais nous avions bien senti que pour lui, vieux hussard noir de la République, la chose était de la plus haute importance et qu’il considérait que la mission qu’il nous confiait était d’importance.
En cherchant des informations sur un Franc-Comtois de ma belle-famille nommé François Félicien Vernier, j’ai trouvé ce fait divers qui donne quelques informations sur sa vie quotidienne.
Quiconque a exploré les registres paroissiaux ou d’état civil a hélas noté les nombreux enfants « né de père inconnu » ou « né de père non dénommé » voire sans aucune notion de père comme on le trouve fréquemment dans les anciens registres paroissiaux. La mère « génitrice » était, elle, toujours identifiée.
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