Entraide généalogique ou historique

Je vous soumets une énigme. Je recherche le lieu de naissance de Silvine Verrier, ma triaïeule. Elle se marie à Chenonceaux, le 16 juillet 1839 à Louis Crocheton, elle est dite âgée de 21 ans et 6 mois, sans mention du lieu de naissance, fille des feux Michel et Marie Jousset qui se sont mariés Souvigny-de-Touraine.

Mon arrière grand père Isidore Jean Marie Rochefort, né à Médréac (Ille-et-Vilaine) le 01 septembre 1852 a épousé Souillard Anne Marie le 19 juin 1878 à Médréac. Le problème est que je trouve un acte de décès à Caulnes, au nom de Isidore Jean-Marie Rochefort né le 01 septembre 1852 à Médréac, dont les parents Joseph Rochefort et Anne Leroi sont bien ceux qui sont renseignés sur l’acte de naissance que je vous joins,mais il est célibataire et décédé le 19 octobre 1919 à Caulnes (Il a alors un fils marin pêcheur qui habite à Caulnes en 1919) ce qui est en contradiction avec l’acte de décès de sa femme et les recensements retrouvés à Plumaudan.

Je rencontre des difficultés pour identifier les parents de mon ancêtre François Baptiste Soubrier. Il est né le 30 avril 1800, lieu non précisé. La date est relevée sur un document fiscal indiquant qu’il est propriétaire du 68 bis rue de faubourg poissonnière et qu’il est soumis à une imposition de 204 et 169 et à une patente de 226 à PARIS V^e.

Comme beaucoup de généalogistes amateurs, j’ai dans mes ancêtres quelques enfants naturels nés de pères inconnus. Dans le cas présent, il s’agit du père de mon arrière grand-mère Albina : son père est né le 17 février 1849, voir acte de naissance ci-joint trouvé sur le site des archives départementales du Lot et Garonne.

J’ai trouvé parmi les souvenirs de mon arrière-grand-tante, décédée en 2002, 4 cartes postales d’un même magasin d’alimentation. Je pense qu’il s’agit de l’endroit où travaillaient ses deux cousins décédés pendant la guerre de 14-18 : Alphonse et Léonce PERRIN. Ces deux décès avaient beaucoup traumatisé la famille à cette époque.

Suite au décès de ma mère fin juin, j’ai pu récupérer les photos de famille. Je viens de commencer le tri et je fais des découvertes. Ma grande tante LACOURTE Juliette Margueritte est née à Paris le 16 octobre 1899 de père non dénommé sur son acte de naissance... Puis elle a été légitimée par le mariage de Georges Constantin LACOURTE et de Céleste MALHERBE le 4 août 1900 à Paris XI. Et là tout s’effondre, je trouve une photo avec au dos Edmond Le Père à Marguerite. Et oui juste un prénom pas de nom… dans la famille pas d’Edmond..

La lecture de ce document m’a laissé bien perplexe ! Son écriture est difficilement déchiffrable.
Je crois, à peu près sûrement, qu’il faut lire " Maitre Reveyrand" et qu’il s’agit du nom de la personne. Par contre, quelques mots avant me laissent penser le contraire : il y aurait le nom d’une personne qui serait "Maitre Reveyrand". Ce serait alors dans ce cas le "métier" de la personne et non son nom de famille. Bref, rien de décisif pour la signification de ce mot !
Alors je me suis dit qu’il faudrait faire plancher les lecteurs de la Gazette.

Sur la carte IGN de 1957 au 1/25000, nous voyons apparaître une croix, et sur les documents de l’ONF il est question d’une tombe de 1870 qui aurait été fleurie jusqu’à la guerre de 1940. Le garde de la maison forestière des Allées recevait régulièrement de quoi acheter ces fleurs. Mais qui est ce caporal Tillot.

Il y a quelques temps, une de mes connaissances a trouvé 2 tombes en partie enfouies sous la végétation sur la propriété d’un ami à Chatillon/Loire (45). Il les a dégagées, a gratté la mousse qui recouvrait les inscriptions et a ainsi mis au jour 2 épitaphes dont l’une est plutôt surprenante et soulève bon nombre de questions. Ces 2 tombes sont celles de Cyr Louis DEVAILLY et de son épouse Louise Suzanne GODARD, propriétaires de cet endroit au XIX^e siècle.

Notre pause est terminée et il nous faut tenter de sortir Ursule de son impasse matrimoniale et le couple Joseph /Anne Marie de sa relation incestueuse. Analysons la situation : le constat tiré des arbres publiés sur Généanet est à l’évidence, aberrant ; par conséquent il existe une ou plusieurs anomalies dans les données déposées par leurs auteurs ; comme il n’existe aucune divergence entre les données des différents dépositaires, nous pouvons en conclure qu’elles proviennent de la même source soit directement soit par recopiage des uns chez les autres.