À mes yeux, et de par ma pratique et mon expérience, l’un des plus grands plaisirs de la recherche généalogique ce sont les découvertes fortuites : le hasard et la nécessité qui vous font rencontrer, au détours de la lecture d’un ouvrage ancien ou d’un document d’archives, un personnage dont vous ne soupçonniez même pas l’existence avant le voir surgir et s’imposer à vous au point de ressentir l’irrésistible désir de faire plus amplement connaissance avec ce fantôme du passé. Ainsi en est-il de sœur Claudine Sabot, décédée à 108 ans en 1761.