Entraide généalogique ou historique

Nous sommes en 1664, Louis Bellot vend à son frère Jean (ici dit l’acquéreur) des terres qu’il a acquises par un contrat de partage de 1655. Dans l’extrait ci-dessous, comprenez-vous que Catherin et Marie Poupeau sont décédés AVANT le 24 juillet 1655 ou pas nécessairement ?

"Un p’tit coup de main les amis ? Je recherche depuis longtemps déjà l’acte de décès de mon arrière grand père DELWAL jules Napoléon. Mes recherches ont porté sur tout ce que je sais faire : courriers aux Mairies à l’époque, déplacements sur différents sites supposés (où il aurait pu mourir), Mairies et Archives départementales, puis recherches Internet, je ne sais plus où m’orienter.... Quelqu’un pourrait-il m’indiquer une piste, ou mieux encore quelqu’un possède-t-il l’information ? Merci de votre aide précieuse. "

Au cours de recherches concernant mon grand-père, prisonnier en Allemagne durant la première guerre mondiale, j’ai eu la chance et le bonheur de rencontrer (grâce à Internet) un allemand de mon âge qui m’a très largement et très généreusement aidée dans mon enquête. Aujourd’hui, cet ami fait des recherches sur son propre grand-père qui combattit en France à la même époque, fut blessé et hospitalisé. Il dispose de peu d’éléments car l’Allemagne ne bénéficie pas d’autant d’archives de guerre que la France...

"Les propriétaires d’une grosse ferme du petit village briard de la Chapelle Rablais avaient une double vie. Les deux frères Grandjean, célèbres oculistes soignant les têtes couronnées, mais aussi propriétaires d’un petit théâtre sur le "Boulevart Neuf" qui deviendra Montparnasse menaient une vie privée bien particulière ; elle fournit à Restif de la Bretonne la matière pour l’une de ses nouvelles : « Sanseverote Rustane batarde filleule maîtresse ». Tout un programme !"

J’habite un quartier de Chelles (77) qui s’appelle Chantereine. Ce quartier a été conçu en 1913 par des employés de la ville de Paris et de la préfecture de la Seine qui ont acheté un terrain de 33 ha qu’ils se sont partagés et qu’ils ont entrepris de lotir. Le président de cette association syndicale nommée Chacun son toit s’appelait Léon Jules HENRION. Depuis plus de 10 ans, je suis, en vain, à la recherche de renseignements à son sujet. Mais je ne trouve aucune trace de lui dans les archives...

Nous sommes au début du XIX^e, Pierre SIGMOND, originaire de Suisse, s’établit à Montbéliard et après quelques années, disparaît pour refaire sa vie dans le Mississipi où il aura une large descendance. L’événement illustre l’histoire de ces migrations massives qui ont bouleversé la société au XIX^e mais il est intéressant aussi pour l’histoire familiale puisque notre brave ancêtre laisse une femme et des enfants à Montbéliard et part pour refaire souche dans le Mississipi avec une nouvelle compagne, l’a-t-il épousé, était-il bigame ?

Provenant d’une succession familiale et plus précisément de l’héritage d’une grand-mère domiciliée de son vivant au Pouliguen (Loire-Atlantique), j’ai en ma possession depuis des années un ouvrage très particulier et probablement unique. Cet ouvrage daté de 1896 a été rédigé par la jeune Marie GRUYERE alors âgée d’environ 14 à 16 ans et offert à sa mère à l’occasion de sa fête. J’ignore toutefois qui était Marie GRUYERE...

En décembre 2014, après plus de 10 années de recherches infructueuses , j’avais demandé l’aide des lecteurs de la Gazette pour trouver des informations sur mon Sosa 16 : Michel FALLET, « originaire du Piémont ». J’ai ainsi fait un pas de géant car beaucoup de personnes m’ont apporté leur aide et permis de découvrir son acte de décès. Par chance, cet acte indiquait le lieu de naissance de cet ancêtre à Pertusio en Italie.

Mon ami Christophe Ripoche est toujours à l’affut de faits et anecdotes concernant l’un ou l’autre des villages portant le nom de Saint Léger. Ses trouvailles lui servent à enrichir les pages du site des « Saint Léger de France et d’Ailleurs » Connaissant mon « virus » pour nos Poilus, au début de 2010, il m’a demandé - encore une fois - de l’aider à retrouver le Poilu Boubilla, décoré de la Croix de Guerre en mai 1916 à Saint Léger les Domart. Le problème est que nous n’avons ni son prénom, ni son régiment !

Dans cette rubrique, d’habitude, c’est le lecteur qui lance "une bouteille à la mer" pour ouvrir de nouvelles pistes de recherche.
Une fois n’est pas coutume, cette fois, c’est le "personnage mystère" de cet article qui a jeté, volontairement (?), une bouteille dans le Rhône.
J’ai besoin de votre aide pour le retrouver.