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Le RoncierRésumé :
Qu’il enfourche le taureau de Sennaz ou qu’il batte un adversaire au fléau, Claude Rifault sort toujours vainqueur des épreuves de force et multiplie les provocations. Mais un jour, l’adversité lui fait face sous les traits d’une certaine population du bourg et des alentours.
Domestique chez Mounier, le granger d’un puissant notable de Marlhes, il va se retrouver au cœur d’un complot dont il ne soupçonne pas la puissance et dans lequel seul le visage de « la » Mariette viendra lui donner de l’espoir.
Au travers de cette histoire perce la réalité des mœurs du XIXe siècle, dans un quotidien à la fois séculaire et sordide.
Le Roncier est une histoire émouvante, imaginée à partir d’un véritable procès d’Assises.
L’auteur : Née à Saint-Étienne, Maryse Daudenet est issue d’une famille d’ouvriers et de mineurs arrivés de Haute-Loire, à la fin du XIXe siècle, lors du grand exode rural vers la vallée industrielle. Après des études littéraires, elle part travailler à Paris et, à son retour en province quelques années plus tard, elle publie un feuilleton historique très documenté sur la période 1870-1871 à Paris, dans le journal régional L’Éveil.
Passionnée de généalogie, d’Histoire de France et d’histoire locale, Maryse Daudenet consacre ses loisirs à la rédaction de chroniques sur les sites généalogiques. Suite à des années de documentation réunie, alors retraitée, elle envisage d’écrire un roman, Le Roncier, au plus près de la vérité, aux sources premières puisées dans les archives départementales.
Merci d’avoir présenté mon ouvrage dans la gazette. Celui-ci étant désormais libre de droits, je vous propose de le transmettre dans son intégralité afin d’apporter ma modeste contribution à cette période de confinement. Maryse Daiudenet
Pour lire gratuitement Le Roncier
- Le Roncier
Cet ouvrage relatant une histoire locale, je pense que ma proposition peut s’inscrire dans le cadre de la généalogie, au niveau patrimonial et moeurs de l’époque. Vous remerciant très vivement par avance de votre attention, très cordialement.
Maryse Daudenet
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