Le vendredi, tout s’arrête : je débranche le téléphone, et je lis !... je lis La Gazette du Vendredi… Je fouille dans la mémoire collective des actes qui ont pu être conservés, et qui aujourd’hui, peuvent nous être transmis par les bienfaits conjugués de la collaboration désintéressée des chercheurs que vous êtes, de votre travail patient et de votre passion, et de la facilitation dans la transmission des données qu’offre l’informatique… et je m’émerveille d’y trouver bien des sujets de la vie, devenue histoire du peuple français ou d’autres peuples européens…