« Gaspar... Antonio ? Bien sûr que je l’ai connu, il a habité un temps dans une petite maison que possédait mon père. » Gabriel Roche et Auguste Pistolozzi m’aidèrent à faire plus ample connaissance avec cet étranger. Un procès verbal dressé contre lui se trouve dans les archives du cabinet du préfet de la Dordogne.






Textes et nouvelles de Michel Carcenac