Les riches ont la réputation d’avoir des oursins dans leur porte-monnaie et ils sont beaucoup, beaucoup moins nombreux que le menu peuple.
Ces faits n’ont pas échappé à la sagacité de nos dirigeants qui, de tous temps, ont compris qu’il était plus facile et bien plus rentable de ponctionner un peu une majorité de pauvres que de tenter de soutirer des subsides à une minorité de nantis : le lion a la plus belle crinière, mais ce sont les moutons que l’on tond…






Chroniques du temps passé
Ma généalogie par le petit bout de la lorgnette : des lamptérophiles au confort des dames…
Du danger des chandelles allumées dans les maisons au XVIIe siècle