Entraide généalogique ou historique

Appoline GRIVEL sa fille, est née à la Cluse-et-Mijoux (Doubs) à l’Auberge Frambourg, lors d’un déplacement de ses parents, son père Antoine travaillait au chemin de fer de ce même lieu. D’après la mairie de la Cluse-et-Mijoux, lettre du 14 mars 1997 qui m’adressait l’acte de naissance d’Appoline : « Aucune trace de cette famille à la Cluse-et-Mijoux après 1860 »...

Pour beaucoup d’entre nous l’entrée en généalogie est devenue un acte irréversible dont il nous faut reconnaître que nous ne sortons pas indemnes : avant, notre moi intime se nourrissait pour l’essentiel des apports du premier cercle de notre famille proche et de nos amis, et à un moindre degré de ceux du second cercle de nos voisins, collègues et connaissances ; après nous nous imbibons progressivement de l’évidence que nous ne sommes pas seulement une individualité forgée ex nihilo par les alea de notre vécu personnel, mais que nous appartenons de facto à une lignée qui explique aussi notre personnalité.

Qu’a pu faire Jean d’Amourette pour être condamné aux fers et partir pour le bagne de Toulon ? Je suis parti à sa recherche en dépouillant les registres paroissiaux « en ligne » entre 1738 et 1745… et je pense l’avoir retrouvé ! Jean Amouret est né le 27 août 1739, baptisé le 29, fils de Louis Amouret et Catherine Dujardin.

Cet été, à la librairie de l’abbaye de Boscodon (Hautes-Alpes), mon attention a été attirée par le livre Jean GRANGER de Medeyrolles dont Roger Cézanne est l’auteur. La quatrième de couverture évoque le hameau des "Terrassettes" situé à quelques kilomètres en amont de l’abbaye, et précise « c’est là que Jean GRANGER, un "aventurier" natif de Medeyrolles en Auvergne, viendra bâtir son nid après avoir épousé le 12 janvier 1790 dans la chapelle de Boscodon Marie-Madeleine BERNARD, issue à la fois d’une lignée de "Bailles" et d’une vieille famille de COMBE-MEYRANNE. » Mais, Jean GRANGER « va partir un triste matin de 1796 pour, dit-il, retourner en Auvergne du côté de Clermont ». « Il ne reviendra jamais aux Terrassettes !... » Jean GRANGER a-t-il été victime d’un accident ? a-t-il fait une mauvaise rencontre ? S’est-il enrôlé dans des troupes militaires ?

Nous avons besoin de votre aide pour localiser la ville ou village de décès de Jules Emile JOURDAIN pour enfin trouver sa tombe. Nous sommes à la recherche de l’arrière grand-père de mon époux Jules Emile JOURDAIN, né le 11 mai 1861 à Châtelraould, St Louvent (Marne).

J’ai déjà depuis plusieurs années tenté de retrouver une des mes arrières grands- mères, Anne Pernin. Alors, cette demande d’entraide est un peu comme une dernière bouteille à la mer. Anne Pernin est née le 15 mai 1856 à Fretterans en Saône et Loire...

Voici une demande d’entraide généalogique concernant mon ancêtre Étienne Farcasse originaire de Hongrie. Sur son acte de décès, il est écrit qu’il est originaire de Hongrie. Sur son acte de mariage, je n’arrive pas à déchiffrer son lieu de naissance, le nom du département et le nom de sa mère...

Je suis à la recherche de mes arrières-arrières grands-parents : François Antoine PETER et Marie Anne FICHTER. François Antoine PETER et Marie Anne FICHTER ont un fils, le 1^er mars 1837, Il naît à Moosch (68). Lui est journalier, je situe sa naissance aux environs de 1797, elle, ouvrière de filature et je situe sa naissance vers 1812.

Voici tous les éléments que je connais sur un personnage que je pense être de ma famille, Guillaume Albenque, dont je ne retrouve pas la filiation malgré les nombreuses traces de son existence à Gabriac et à Espalion. Je serais reconnaissant à ceux qui pourraient m’aider dans cette recherche.

Je recherche depuis deux ans Jean Courbon, parti sans doute en migration temporaire et porté disparu entre 1822 et 1839. J’ai recherché dans toutes les tables décennales de la Loire, même les inconnus qui pourraient correspondre, c’est insoluble. J’ai cherché dans le département 42 car j’ai trouvé des migrants temporaires de sa commune décédés dans la même fourchette dans d’autres communes du département mais identifiés. Pourquoi ne l’aurait-il pas été, le livret ouvrier était alors obligatoire ? Mystère !!!