Entraide généalogique ou historique

Devant des difficultés pour identifier les parents de Gabriel Conduché né en 1912, j’aimerais solliciter le savoir-faire de vos lecteurs de la Gazette. Gabriel CONDUCHÉ a vécu toute sa vie sans connaître ses parents. Enfant de l’Assistance, aucun document ne lui a jamais été communiqué sur ses origines, malgré ses demandes. Son carnet d’enfant Assisté ne contient que son vécu à partir de l’âge de 15 jours dans le Puy-de-Dôme et dans l’Allier. Après son décès son fils a repris le flambeau, pour l’instant sans succès…

Il a toujours été dit dans la famille que Norbert était mort pendant la guerre de 39/45. Quelle n’a pas été notre surprise quand mon mari (qui s’appelle Norbert en souvenir du frère décédé, dixit mon beau père) a retrouvé dans un vieux portefeuille de mon beau père une photo du fameux Norbert que je vous joins. Avec une dédicace qui confirme qu’il n’était pas mort à la fin de la guerre.

Devant vendre une très vieille maison de famille en Eure et Loir, mon épouse et moi-même n’avons pu identifier deux médailles parmi de nombreuses découvertes (dont une médaille de Sainte Hélène).

Voici une photo représentant mon grand-père Georges JEANNOT né en 1873 qui a travaillé aux automobiles Mors dans le 15° arrondissement de Paris comme mécanicien avant de finir sa carrière chez Citroën quai de Javel à Paris. Cette photo, sur papier, porte au verso la mention « 1905 Tourmalet ». Au cours de quelle compétition ou rallye ce cliché a-t-il pu être pris ?

Le 18 mars 1943 mon père est requis pour le STO (Service du Travail Obligatoire). Il s’y attendait, depuis quelque temps. Le 19 mars 1943 il est affecté à Wiesbaden, en Allemagne, comme coiffeur, où il arrive le 22 mars 1943. Qu’y avait-il à Wiesbaden ? un camp de prisonniers ? Un camp de travail ? Une usine d’armement ? Je ne sais pas, et je voudrais bien savoir. Les rares fois où mes sœurs ou mon frère, ou moi lui posions des questions nous avions toujours la même réponse : « c’était très dur ». Il n’a jamais voulu en dire plus.

Ma mère a reçu dans sa jeunesse un prix de "Bonne Camaraderie". Sur la page de garde d’un de ses livres, l’étiquette d’une "Institution de Jeunes Filles" en conserve le souvenir. Qui pourrait m’en dire plus ?

Qui peut m’aider à trouver la date et le lieu de décès d’une arrière-arrière-grand-mère Benoite CHRISTOPHE. Je pense avoir fait tous les environs depuis plusieurs mois (actes État Civil mairies et archives départementales, cimetières, décès en hôpital ou chez des ancêtres parents qui auraient pu la recueillir). Je ne sais plus vers quelle piste me diriger !

J’ai trouvé dans ma famille 2 sœurs abandonnées à la naissance, prises en charge à l’hospice, et récupérées et reconnues par leur mère vers 2 ans mais chacune à son tour, avec un espace de 2 ans entre ces reconnaissances. La mère n’a-t-elle pas eu le droit de récupérer ses 2 filles en même temps (on m’a dit qu’on ne pouvait peut-être pas reprendre son enfant avant l’âge de 2 ans, mais sans aucune référence) / ou est-ce qu’elle ne l’a pas souhaité ?

Jean Baptiste Emile Boilot est comment dirait-on, un cousin très très éloigné. Je vais étudier sa généalogie, pour éluder une question très courante. Comment prendre en compte un nom de famille, écrit sous diverses orthographes. C’est vrai que l’on se pose la question : quelle est la bonne orthographe à prendre en compte ?

J’ai trouvé cette photographie dans mes archives familiales et je cherche à situer le « Café de la Bourse » qui y figure. La photographie ne porte aucune annotation mais je pense identifier, dans les deux personnages de droite, mon arrière-grand-père, Louis Henri Lelievre, et mon arrière-grand-mère Louise Henriette, née Chertier.