J’ai entrepris, il y a quelques années, des recherches sur la branche parisienne de mes ancêtres Reprises il y a quelques mois avec l’aide de Michel, elles nous ont entrainés vers une série de mystères, qui ne sont aujourd’hui qu’en partie résolus.
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Accueil > Articles > Chroniques de nos ancêtres
En partenariat avec Généanet , la rubrique Chroniques de nos ancêtres vous propose de découvrir des aspects variés, parfois insolites ou méconnus, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos ancêtres à travers la présentation commentée de documents d’archives et de témoignages anciens, puisés dans toutes les régions et à toutes les époques.
Dernier ajout : le 7 avril.
J’ai entrepris, il y a quelques années, des recherches sur la branche parisienne de mes ancêtres Reprises il y a quelques mois avec l’aide de Michel, elles nous ont entrainés vers une série de mystères, qui ne sont aujourd’hui qu’en partie résolus.
Cloîtré dans ma maison, je surveille à la radio l’évolution de la situation. Notre peste ressemble tellement à la grippe espagnole de 1918. Celle-ci a fait mourir de cinquante à cent millions de personnes. Mon père m’en a souvent parlé, c’était ancré dans sa mémoire, et aujourd’hui j’ai envie de partager ce souvenir avec vous.
Je m’appelle Claude GENTIL, je suis né le 26 janvier 1734 à Aignay-le-Duc, dans le Châtillonnais (bailliage de la montagne), au nord du duché de Bourgogne. Je suis décédé le 13 mars 1782 à Dijon, dans des circonstances horribles. Circonstances qui mirent fin à 48 ans d’une vie honnête, pieuse et sans histoire.
En ce temps de l’après-guerre, la majestueuse et très ancienne bâtisse qui abritait la municipalité de Créteil était cerclée d’une belle esplanade arborée. Excepté le dimanche, en raison de la proximité du marché et de l’église, la place de la Mairie était un peu somnolente, un peu apprêtée et même un peu bourgeoise, mais une fois par an, et c’était le jour de la fête nationale, une foule en liesse s’en emparait et l’animait d’exubérances : elle s’encanaillait...
Pour quelle raison, Jean PIN maçon à Mouilleron et Marie MANDINEAU demeurant à Bazoges ont-ils fait cette promesse devant notaire, le 4 Octobre 1728 ? A cette date, le couple n’était pas encore marié, puisque cela n’est pas précisé dans l’acte, de plus, chacun habitait dans une paroisse différente. Pourtant, plusieurs enfants naîtront de leur union dont nous trouvons preuve de la légitimité dans l’acte de naissance de leur fils Jacques le 10 Mai 1737.
Nous sommes le 14 juillet 1831. Cette nuit-là, Marie Anne Françoise Elie BOUY, sage-femme, est appelée pour un accouchement, au 9 rue de la loge, à Marseille. Il est 5 heures du matin, et la petite Anne Augustine voit le jour. Le même jour, Elie se rend à la mairie pour déclarer la naissance de l’enfant, puis à l’hospice de la Charité. En effet, Anne Augustine n’aura pas la chance de grandir dans un foyer avec des parents aimants, elle sera admise à l’hospice à peine 9 heures après sa naissance. Nous ne saurons jamais rien de ses parents. On lui attribue le patronyme MÉDOC.
Les traces les plus personnelles laissées par nos aïeux sont leurs signatures apposées sur les actes d’état-civil par ceux qui savaient peu ou prou écrire ; étonnamment elles n’ont guère inspiré les généalogistes ni même les philologues et autres lexicologues. Nous avons longuement cherché sur Internet, mais nous avons dû nous rendre à l’évidence : nous n’avons trouvé aucun mot pour désigner la discipline qui traiterait de l’étude et de l’analyse des signatures.
Ma grand-mère paternelle, Marie Tollet, née en 1857 dans la Sarthe, fréquentera l’école de son village et poursuivra ses études jusqu’à l’obtention du Brevet élémentaire, en 1873, au Mans. Elle deviendra institutrice et exercera de la fin du XIXe siècle au tout début du XXe siècle dans des villages au sud-est de la Sarthe.
Le fantasme suprême du généalogiste est de reléguer le plus vénérable des porteurs de son patronyme au rang de simple rejet d’une souche plus ancienne. Mais l’actuel titulaire du sommet de notre SOSA patronymique, apparu ex nihilo d’on ne sait où et à une date au mieux incertaine, n’est pas la seule épine irritative de nos enquêtes sur notre saga familiale : de temps à autre apparaît un de nos collatéraux qui s’empresse de se volatiliser sans laisser d’autre trace que son acte de naissance.
Cet article est un retour d’expérience pour écrire un "roman mémoire" à partir des correspondances, livres de compte, actes d’état civil d’une famille, celle du couple Paul Alexandre et Jeanne Lévy et leurs descendants, Madeleine Alexandre, épouse de Paul Léon, et Michel Alexandre, époux de Jeanne Halbwachs, sur la période de 1880 à 1927.
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