Les traces les plus personnelles laissées par nos aïeux sont leurs signatures apposées sur les actes d’état-civil par ceux qui savaient peu ou prou écrire ; étonnamment elles n’ont guère inspiré les généalogistes ni même les philologues et autres lexicologues. Nous avons longuement cherché sur Internet, mais nous avons dû nous rendre à l’évidence : nous n’avons trouvé aucun mot pour désigner la discipline qui traiterait de l’étude et de l’analyse des signatures.