Entraide généalogique ou historique

C’était le 20 Juin 1904 à l’hôtel du Rhin et Newhaven à Dieppe (76), jour du mariage de mes grands-parents paternels Dominique, Albert Bourdin et Blanche, Charlotte, Alexandrine Deliez. La photo originale était un peu abîmée et très claire. On ne voyait rien en faisant des scannes. Je l’ai donc fait scannée par un photographe, qui a un bien meilleur scanner que le mien, et maintenant on distingue bien mieux les personnes. Sur cette photo je reconnais seulement mes grands-parents, la sœur de ma grand-mère ainsi que son mari et deux autres personnes.

En remontant la lignée de mes ancêtres installés au Québec, j’ai retracé le premier à faire la traversée. Il s’appelait Roch-Jacques Ripault, dit Rollet. Il venait de Niort. C’était probablement un protestant. Ayant constaté que les documents concernant les baptêmes, mariages et sépultures sont souvent semblables au Québec et en France, je me risque aujourd’hui à demander un coup de main.

Mon arrière-grand-père Victor CORSIN était un enfant trouvé. Il a été déposé dans le tour de l’hospice Saint Charles à Rochefort et déclaré auprès du fonctionnaire de l’État Civil le 3 avril 1825 par Sœur Martel directrice de cet hospice. Je n’arrive pas à trouver son acte de baptême.

Mon grand-père Jean-Adolphe CHERVALIER est né au Puy, faubourg du Breuil, dans une famille très modeste originaire de St-Cirgues (mère domestique, père journalier), tout petit bourg situé face au prieuré clunisien de Lavoute-Chilhac fondé au 11^e siècle par Odilon Mercoeur.
Comme en atteste les recensements successifs au Puy, les parents CHERVALIER de Jean-Adolphe et son "oncle" Jean-Adolphe Renard (célibataire) ont vécu en famille au n°12 du faubourg du Breuil.
Je n’ai pas trouvé de (…)

C’est l’histoire d’un gars qui aurait pu inspirer Françis WEBER en 1998 pour l’une des scènes cultes de son film « Le dîner de Cons » .

Je vous adresse ce morceau de photo (carte postale) qui m’a toujours intrigué. Cette photo a-t-elle été coupée volontairement ? qui a-t-on éliminé pour que les enfants présents sur la photo ne le connaissent pas ?

Le 14 octobre 1919, suite à un incendie, le vapeur VENEZIA sombrait par 43°32’N / 45°04’W dans l’Océan Atlantique. Parmi les respacés, François Becavin, 23 ans, aide-cuisinier, né à Pontchaleau (sic). Je fis de suite le rapprochement avec mon grand-père, Bécavin André François né à Pontchâteau près de Saint-Nazaire. Cependant, quelque chose ne collait pas...

Voici la situation particulièrement embarrassante qu’un jeune homme rencontra au moment de son mariage. Né le 25 octobre 1826 à Auzay, charmant petit village de Vendée, il a « malencontreusement » été reconnu de sexe féminin à la naissance et l’acte d’état civil a été enregistré avec le prénom de Françoise. Outre le caractère aujourd’hui cocasse de la situation, il semble incroyable qu’une telle erreur ait pu se produire.

J’ai un problème insoluble pour moi, pouvez-vous m’aider ? Au départ un acte de mariage d’un parent : PEYNOT François Ernest né au Theil Sainte-Feyre (23), le 28 octobre 1898 reconnu par sa mère le 11 décembre 1898, marié à GUERET le 17 décembre 1921 à VUBLET Marie Louise Yvonne.

Deux actes de naissances avec ce genre de mentions marginales nous interpellent. La connaissance de cette cabalistique fera-t-elle avancer notre généalogie ?